“…L'évaluation doit prendre en compte ces variations, qui peuvent influencer l'expression et l'interprétation des affects, le degré de dévoilement (particulièrement lors de l'évaluation de la dangerosité de jeune pour lui-même ou pour les autres) et le développement de la symptomatologie (Pumariega et Rothe, 2003;Pumariega et al, 2013;Pumariega et al, 2010). Il est également important d'identifier, d'aborder et de freiner la portée des barrières à la demande d'aide, que celles-ci soient économiques, géographiques ou liées aux croyances culturelles (Bell, Wells et Merritt, 2009;Huey Jr et Jones, 2013). Il faut donc éviter de stéréotyper la situation du jeune et de sa famille, mais tout de même la normaliser afin de réduire le stigma vécu (Breland-Noble et al, 2010;Briggs et McBeath, 2010;Lee et al, 2006;Pumariega et al, 2013;Pumariega et al, 2010).…”