Inference generation in young, young–old and old–old adults: evidence for semantic architecture stability

Abstract

Participants (31 young, 27 young-old, and 28 old-old) read 12 narratives, pausing periodically to think aloud. The resulting protocols were analysed for 17 types of inferences and for non-content (off-target) information. Factor analysis yielded three inference factors: character, causal and physical. Age difference across these factors were not significant, suggesting that inferential processing architecture may be stable. Each narrative also included an unfamiliar word. Immediately following each narrative, four definition choices and a definition rating scale were presented. The definition scores of old-old adults were lower than young and young-old. In addition, definition scores were negatively related to non-content comment counts. Taken together, these findings suggest that off-target working-memory intrusions may interfere with interpretation specificity in older adults even though semantic architecture remains stable. This study extends the aging and inference literature by addressing age-related changes across categories of inferential processing and by including a sample of old-old adults.

Story asides as a useful construct in examining adults’ story recall.

“…Research in the OTV tradition shows that inclusion of off-target information increases with age (e.g., James, Burke, Austin, & Hulme, 1998; McGinnis, Goss, Tessmer, & Zelinski, 2008) and has been linked to deficits such as lower competence in activities of daily living (Arbuckle et al, 2004). Off-target speech has been linked to a certain aspect of cognitive decline, inhibition deficits.…”

Analyse conceptuelle de la compréhension inférentielle en petite enfance à partir d’une recension des modèles théoriques

“…Selon Johnson et Johnson (1986), cet éventail d'habiletés inféren-tielles fournit une base solide qui contribue à la compréhension approfondie d'un discours. Le tableau 1 ci-dessous regroupe les sous-catégories d'inférences basées sur les connaissances personnelles proposées par les auteurs les plus cités dans les écrits scientifiques (Frederiksen, 1979 ;Johnson et Johnson, 1986 ;Greasser et al, 1994 ;McGinnis et al, 2008).…”

“…Tableau 1 Sous-types d'inférences fondées sur les connaissances personnelles (Frederiksen, 1979 ;Graesser et al, 1994 ;Johnson et Johnson, 1986 ;McGinnis et al, 2008) …”

“…Les inférences anaphoriques, aussi appelées inférences référentielles ou coréférences, permettent de faire le lien entre un mot de substitution et son référent (par exemple : faire le lien entre un pronom et le personnage qu'il désigne). Quant aux inférences causales, elles requièrent la compréhension d'un lien de causalité (cause à effet) entre les évènements décrits (McGinnis et al, 2008 ;van Dijk et Kintsch, 1983). Cette catégorie d'inférences permettrait de comprendre, par exemple, pourquoi un personnage d'une histoire voudrait se venger après avoir été humilié par un autre personnage.…”

“…Ce sommaire inclut les sous-types d'inférences proposées par Frederiksen, 1979 ;Johnson et Johnson, 1986 ;Graesser et al, 1994 ;McGinnis, Goss, Tessmer et Zelinski, 2008o 3, 2012 concernant les inférences. Effectivement, lorsque ces enseignements se déroulent dans un contexte pertinent et authentique qui intéresse l'enfant, leur efficacité s'accroît selon l'approche explicite contextualisée (en anglais, embedded-explicit) (Justice et Kaderavek, 2004), recommandée lors des activités de promotion d'éveil à l'écrit.…”