“…Celle-ci est généralement calculée en fonction de l'âge du bâtiment, prenant ainsi en considération les réglementations thermiques françaises en vigueur au moment de la construction, et de sa forme urbaine. (Maïzia, 2007 ;Kavgica et al, 2010 Arantes et al (2016) ont largement pondéré l'évidence de relations existantes entre compacité (urbaine), densité et performances énergétiques, pour favoriser la notion d'« optimisation morphoénergétique ». Ces travaux soulignent la difficulté de travailler sur la performance énergétique et les formes urbaines à l'échelle de la ville (Maïza, 2007 ;Arantes et al, 2016) et préconisent d'évaluer la dépendance énergétique d'une ville, à partir de sa densité et de sa composition morphologique, à partir d'îlots et de petits secteurs, puis de généraliser ces formes urbaines à l'ensemble de la ville, dans une perspective, non pas de préconisation, mais de compréhension (Arantes et al, 2016).…”