“…La prédominance de cette espèce pourrait être expliquée par sa capacité importante d'adhésion à la muqueuse vaginale grâce à la présence des récepteurs cellulaires vaginaux au ligand Candida, permettant l'expression de ses facteurs de virulence, sa germination et sa transformation de l'état saprophyte sous forme de blastospores, à l'état pathogène sous forme filamenteuse [2,9]. Bien que C. albicans demeure l'espèce la plus incriminée dans le développement de cette infection, une augmentation des candidoses vaginales dues à d'autres espèces de Candida est de plus en plus rapportée [1,3,4,20,33,34,37].…”