“…Ces traces disposent de contenu informationnel, expérientiel et/ou spatial, devenant alors des traces géonumériques (Mericskay & Roche, 2011 ;Mericskay et al, 2018), ou Informations Géographiques Volontaires (IGV). L'exploitation de ces données dessine de nouvelles perspectives pour la recherche, par exemple en matière de mobilité urbaine (Le Breton et al, 2022), y compris sportive (Musakwa & Selala, 2016 ;Dadashova et al, 2020 ;Hong et al, 2020 ;Kyuhyun & Ipek Nese, 2021 ;Nelson et al, 2021 ;Venter et al, 2021), ou de comportements spatiaux des touristes en milieu urbain (Mondo et al, 2020). Ce web collaboratif donne accès à de grandes quantités de données documentant des phénomènes par ailleurs difficilement observables (Houllier & Merilhou-Goudard, 2016), notamment en montagne du fait de la dispersion et de la faible densité des usages.…”