1992
DOI: 10.1016/s0399-077x(05)80800-5
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La leptospirose en Guadeloupe. Aspects cliniques, biologiques et épidémiologiques

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“…Therefore, a diagnostic test specifically detecting this serovar at an early stage of disease could help in the management of leptospirosis in patients in Guadeloupe. We confirmed that the L. borgpetersenii serovars Arborea and Castellonis, rarely isolated elsewhere, are highly prevalent in Guadeloupe ( 3 , 12 ). Taken together, they are the second most prevalent serovars after Icterohemorrhagiae.…”
Section: Discussionsupporting
confidence: 78%
“…Therefore, a diagnostic test specifically detecting this serovar at an early stage of disease could help in the management of leptospirosis in patients in Guadeloupe. We confirmed that the L. borgpetersenii serovars Arborea and Castellonis, rarely isolated elsewhere, are highly prevalent in Guadeloupe ( 3 , 12 ). Taken together, they are the second most prevalent serovars after Icterohemorrhagiae.…”
Section: Discussionsupporting
confidence: 78%
“…Une étude menée entre 1986 et 1990 par l'Institut Pasteur de la Guadeloupe a montré une forte séro-prévalence de cette bactériose au sein des cheptels insulaires de bovins (38 à 90 %), et de chevaux (46 à 70 %) et fait état du décès de six personnes pour la seule année 1993 (Goursaud & Pérez, 1993). Strobel et al (1992) font état d'un taux de prévalence de la leptospirose au sein des populations humaines de la Guadeloupe et de la Martinique 40 fois supérieur à celui de la France métropolitaine, taux comparable à celui établi -285 -pour La Réunion (Duval et al, 1988) mais nettement inférieur à celui de la Nouvelle-Calédonie (200 fois celui de la France métropolitaine, Perrocheau & Pérolat, 1997). Michel (2001) observe, à l'occasion de prélèvements réalisés à l'échelle de peuplements de mammifères d'agro-écosystèmes et d'écosystèmes « naturels », le portage rénal de la bactérie par 17, 37 et 57 % d'un échantillon de Surmulots, Rats noirs et Souris domestiques.…”
Section: Introductionunclassified
“…À la Guadeloupe, outre les dégâts qu'il occasionne aux cultures, le Rat noir est réservoir de Schistosoma mansoni, parasite responsable de la bilharziose intestinale (Golvan et al, 1981), et d'Angiostrongylus costaricensis (Juminer et al, 1993). Comme la Mangouste, il est par ailleurs réservoir et vecteur de formes pathogènes de la bactérie Leptospira interrogans responsable de la leptospirose (Goursaud & Pérez, 1993 ;Michel, 2001), maladie dont le taux de prévalence dans les populations humaines de la Martinique et de la Guadeloupe est 40 fois supérieur à celui de la France métropolitaine (Strobel et al, 1992). Depuis la première épidémie qui sévit en 1950 à Porto Rico, la Mangouste est réputée constituer un réservoir majeur du virus de la rage à Cuba, Hispaniola et Grenada (Anonyme, 1985 ;Everard & Everard, 1988).…”
Section: Introductionunclassified