“…La participation est donc au coeur de cette lecture de la « bonne » gouvernance environnementale et agit comme une mise en relation des groupes d'acteurs : c'est en cela que M. Mormont et al (2006) voient dans la participation un processus de circulation entre différentes sphères (à différentes échelles, scientifique, politique…) permettant de redéfinir des normes. L'UICN (Dudley, 2008, p. 34) propose parmi ses principes de gouvernance : « légitimité et droit à la parole, subsidiarité, impartialité, absence de préjudice, direction, performance, responsabilité, transparence et droits humains », que des lieux communs avec lesquels on ne peut être qu'en accord.…”