2004
DOI: 10.7202/009506ar
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La réforme de la gestion des terres des Premières Nations : pour qui ?

Abstract: Tous droits réservés © Société québécoise de science politique, 2004Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris la reproduction) est assujettie à sa politique d'utilisation que vous pouvez consulter en ligne.https://apropos.erudit.org/fr/usagers/politique-dutilisation/ Cet article est diffusé et préservé par Érudit.Érudit est un consortium interuniversitaire sans but lucratif composé de l'Université de Montréal, l'Université Laval et l'Université du … Show more

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“…Par exemple, en 1999, le gouvernement canadien ratifi ait une loi qui devait modifi er certains éléments de la Loi sur les Indiens et offrir beaucoup plus de latitude aux nations autochtones dans la gestion des terres quʼelles occupent 9 . À lʼexamen, il appert dʼabord que cette loi participe de la volonté néolibérale de lʼÉtat de se désengager de certains dossiers et quʼelle ne vise en défi nitive quʼune poignée de communautés autochtones de lʼOuest du pays ; mais il ressort surtout que le code foncier qui guide désormais la gestion autochtone des terres doit, en dépit des normes locales qui peuvent lʼinspirer, se conformer à un modèle de base fondé sur des concepts et un langage inspirés du common law, proches de lʼhéritage institutionnel de la Loi sur les Indiens et articulés aux principes du droit et de lʼéconomie occidentaux contemporains (Lajoie et al, 2004).…”
Section: O S S I E Runclassified
“…Par exemple, en 1999, le gouvernement canadien ratifi ait une loi qui devait modifi er certains éléments de la Loi sur les Indiens et offrir beaucoup plus de latitude aux nations autochtones dans la gestion des terres quʼelles occupent 9 . À lʼexamen, il appert dʼabord que cette loi participe de la volonté néolibérale de lʼÉtat de se désengager de certains dossiers et quʼelle ne vise en défi nitive quʼune poignée de communautés autochtones de lʼOuest du pays ; mais il ressort surtout que le code foncier qui guide désormais la gestion autochtone des terres doit, en dépit des normes locales qui peuvent lʼinspirer, se conformer à un modèle de base fondé sur des concepts et un langage inspirés du common law, proches de lʼhéritage institutionnel de la Loi sur les Indiens et articulés aux principes du droit et de lʼéconomie occidentaux contemporains (Lajoie et al, 2004).…”
Section: O S S I E Runclassified