“…Depuis au moins une décennie, les policiers sortis d'école sont affectés dans les zones urbaines des grandes agglomérations, particulièrement d'Île-femmes), les jeunes sont un peu plus souvent issus de minorités (or, les jeunes sont plus contrôlés), les « habillés jeune » sont beaucoup plus souvent issus de minorités (or, les « habillés jeunes » sont plus contrôlés). Au terme d'analyses statistiques de rapports de chances considérés toutes choses égales par ailleurs (analyses de régressions logistiques), le risque pour un jeune homme maghrébin (ou noir) ne portant pas de [4]. Cette enquête permet, entre autres bénéfices (voir plus loin), d'approfondir la question de l'apparence dans le choix de contrôle des policiers, puisqu'elle a posé la question consistant à savoir si les étudiants arborent habituellement une casquette, un jogging, une capuche, le crâne rasé, la barbe, une crête, des dreadlocks, des piercings, des tatouages visibles.…”