“…Cette violence, parce qu'elle est liée au namus, est associée, dans le discours, à l'espace rural (voir l'article de Jean-François Pérouse dans ce numéro). Elle fait partie des poncifs que l'on retrouve dans les séries télévisées [Scalbert-Yücel 2005]. Bien sûr, tout le monde, en Turquie, est conscient qu'en ville aussi le crime sévit, mais la ville n'est pas perçue comme productrice de violence : la mafia, par exemple, n'est pas décrite comme un phénomène urbain à l'instar des gangs du continent américain.…”