“…En parallèle, on ne compte plus les travaux portant sur l'espace en régime romanesque, qu'ils soient littéraires (Tibloux, 1996 ;Kremer, 2022), sémiotiques (Fontanille, 2013 ;Bertrand, 1985), poétiques (Mitterand, 1980 ;Hamon, 1981), narratologiques (Lambert, 1998 ;Ziethen, 2013) ou ethno-critiques (Privat, 2000 ;Scarpa, 2015). Quant aux linguistes, outre les travaux sur la sémantique des relations spatiales (Vandeloise, 1986 ;Borillo, 1990), leur apport essentiel concerne les phénomènes de structuration et de cohésion textuelle selon qu'ils portent sur les organisateurs spatiaux (Adam & Revaz, 1989) ou sur les expressions spatiales cadratives (Charolles & Vigier, 2005). Comme le rappelle A.…”