“…Il ouvrirait sur de nouvelles logiques d'engagement, les logiques de l'action « connectée », différentes des logiques traditionnelles de l'action collective (Bimber, Flanagin, Stohl, 2005 ;Bennett, Segerberg, 2012), et qui se traduiraient, comme pour l'activisme hors ligne, par des sous-modèles d'e-participation (Cantijoch, Gibson, 2013) réfractant une pluralité de rapports au politique, des plus distants au plus actifs (Leonard, 2009 ;Christensen, 2011 ;Vie, 2014). L'activisme en ligne se traduirait ainsi par l'émergence de nouveaux modes d'action (Granjon, 2002a ;Peretti, Micheletti, 2004 ;Greffet, Wojcik, 2008 ;Badouard, 2013 ;Théviot, Mabi, 2014 ;Babeau, 2014 ;Halupka, 2014), voire de nouveaux répertoires d'action (Granjon, 2002b, Van Laer, Aelst, 2010.…”