“…Ces données soulignent que l'évaluation de la symptomatologie clinique ainsi que l'analyse microbiologique doivent être rigoureuses avant d'instituer une chimiothérapie anti-infectieuse ou de majorer le traitement immunosuppresseur chez ces patients [17,19,31,36]. [17,19,31,36,[45][46][47][48]. En effet, dans un travail regroupant 156 patients ayant une polymyosite/dermatomyosite, le taux des lymphocytes totaux était moins élevé dans le groupe ayant une infection opportuniste par rapport à celui n'en ayant pas (0,764 Â 10 9 /L vs 1,9 Â 10 9 /L) [36].…”