To advance economic and sustainability objectives in a lobster fishery, four broadly different management policies were evaluated: minimum and maximum size limits, constant catch quotas, and quota set yearly in proportion to the previous year's catch per unit effort (CPUE). The performance of each policy was evaluated based on its discounted economic yield, together with egg production, catch, and catch stability. Maximum size limits performed poorly for all indicators. Raising the minimum size increased economic yield by improving yield-per-recruit. Output controls, both constant and dynamic, uniformly outperformed size limits, leading to substantially higher economic yield and egg production. A dynamic harvest control rule, setting quota in proportion to the previous year's catch rate, achieved the highest economic yield, catch, and egg production over 20 years. The optimal (30%) exploitation rate under this policy produced a 182% improvement in economic yield compared with a baseline strategy of only minimum size, but led to a mean year-to-year change in quota of 11.5% in response to yearly variable recruitment. This quota-setting management regime is straightforward to implement, using only catch rate as input. When absolute exploitation rate estimates are not available, this quota-setting harvest control rule can be constructed using only a target level of effort.Résumé : Pour favoriser l'atteinte d'objectifs économiques et de durabilité dans une pêche au homard, quatre politiques de gestion généralement distinctes ont été évaluées, à savoir les limites de taille minimum et maximum, des quotas de prises constants et l'établissement annuel des quotas en fonction des les captures par unité d'effort (CPUE) de l'année précédente. La performance de chacune de ces politiques a été évaluée sur la base de son rendement économique actualisé, combiné à la production d'oeufs, aux prises et à la stabilité des prises. La performance de limites de taille maximum est faible pour tous les indicateurs. En améliorant le rendement par recrue, l'augmentation de la taille minimum s'est traduite par une augmentation du rendement économique. La restriction, dynamique ou constante, des prises a uniformément donné de meilleurs résultats que les limites de taille, produisant un rendement économique et une production d'oeufs sensiblement plus importants. Une restriction dynamique des prises, soit l'établissement de quotas en proportion du taux de prise de l'année précédente, a donné le rendement économique, les prises et la production d'oeufs les plus élevés sur 20 ans. Le taux d'exploitation optimal (30 %) en vertu de cette politique a produit une amélioration de 182 % du rendement économique par rapport à une stratégie de référence basée sur la seule taille minimum, mais a mené à une variation interannuelle moyenne des quotas de 11,5 % en réponse aux variations interannuelles du recrutement. Ce régime de gestion basé sur l'établissement de quotas est simple à appliquer, ne nécessitant que le taux de prise comme intrant. Quand des es...