Mechanisms of hypertrophic scar and contracture formation in burns

Larson, Duane L.; Baur, P. S.; Linares, Hugo A.; Willis, Barbara; Abston, Sally; Lewis, S. R.

doi:10.1016/0305-4179(75)90022-4

Cited by 17 publications

(8 citation statements)

References 5 publications

Supporting

Mentioning

Contrasting

Unclassified

Order By: Relevance

“…Most of the respondents who indicated that pliability, vascularity, and height should be included in a BSOM considered these variables to be affected by scar management, and this is in agreement with the observations of several authors. 26,31,36,[52][53][54][55][56] Respondents also reported pliability and vascularity to be indicators of scar maturity, a finding supported by the literature. 16,26,29,36,43,45,52,53 A common theme that arose in the open-ended responses was that pliability affects joint motion and, therefore, relates to function, a concept supported by McOwan et al 12 and Sullivan et al 17 Less than half of the respondents who indicated that height should be included did so because they consider height to be an indicator of scar maturity; however, many authors state that it is an indicator.…”

Section: Discussionsupporting

confidence: 68%

Burn Therapists’ Opinion on the Application and Essential Characteristics of a Burn Scar Outcome Measure

Forbes-Duchart

Cooper

Nedelec

et al. 2009

Journal of Burn Care & Research

View full text Add to dashboard Cite

Comprehensive burn rehabilitation requires the use of an appropriate burn scar outcome measure (BSOM). The literature reports many BSOMs; however, an objective, practical, inexpensive, valid, reliable, and responsive instrument eludes us. A problem in the development of such a measure is disagreement in which scar properties to include. The objective of this study was to determine the burn scar variables that therapists believe should be included in a BSOM. An Internet survey was administered to burn occupational and physical therapists. The response rate was 38.6% (105 surveys). Of the respondents, 38.1% use a BSOM; of those, 75% use the Vancouver Scar Scale. Reasons why respondents do not use a BSOM (61.9%) are because they are not familiar with available measures, have not found one that is clinically practical, or need more training. The majority (95%) believes that using a BSOM is important, and the following BSOM characteristics were reported as important: reliable, valid, quick, easy, and noninvasive. Respondents indicated that the following properties should be included in a BSOM: pliability (96.2%), vascularity (92.4%), height (87.6%), appearance (75.2%), skin breakdown (74.3%), itch (73.3%), surface texture (70.5%), pigmentation (68.6%), and pain (67.6%). This study suggests that using a BSOM is important despite its inconsistent use, and BSOM education may be valuable. The top three agreed-upon properties for inclusion are already incorporated into the most commonly used BSOM-the Vancouver Scar Scale-suggesting that modifications may be reasonable.

show abstract

Section: Discussionsupporting

confidence: 68%

Burn Therapists’ Opinion on the Application and Essential Characteristics of a Burn Scar Outcome Measure

Forbes-Duchart

Cooper

Nedelec

et al. 2009

Journal of Burn Care & Research

View full text Add to dashboard Cite

show abstract

“…Le manque de fibres élastiques et le grand nombre de fibres de collagène, mal disposées dans le tissu cicatriciel limitent l'extensibilité du néoderme. La peau cicatricielle qui a perdu sa souplesse et son extensibilité freine, voire bloque les mouvements [13]. L'importance de cette limitation dépend de l'étendue de la surface brûlée et peut entraîner ces répercus-sions à distance de la zone touchée, ce qui nous conduit à étudier la peau comme une chaîne cutanée, en faisant varier la tension cutanée par la mobilisation des articulations sus-et sous-jacentes [10].…”

Section: Bilan Cutanéotrophiqueunclassified

Bilan de la main brûlée séquellaire

Rochet¹,

Nicolas²,

Amthor³

et al. 2011

Lett Med Phys Readapt

View full text Add to dashboard Cite

Le bilan de la main brûlée comporte plusieurs étapes. Il permet de faire le diagnostic de la cause limitant la fonction de préhension et d'orienter le traitement. Sa complexité provient de l'atteinte tégumentaire. Toute brûlure profonde, dès lors que le derme est atteint entraîne au minimum des modifications de la biomécanique et de la cinétique tégumentaires et s'accompagne de rétractions cutanées limitantes. Le bilan s'attache à rechercher l'ancienneté des lésions et la persistance ou non des phénomènes inflammatoires, la fragilité du revêtement cutané, l'existence ou non de déformations fixées, l'état de la sensibilité et la présence ou non de douleur. Le bilan clinique comprend une inspection, la palpation, la mobilisation articulaire de l'ensemble de la main et du membre supérieur, un testing complet, un bilan sensitif, un bilan fonctionnel et recherche les besoins du patient. Il recherche la présence de brides et de placards qui peuvent entraîner des déformations prévisibles et stéréo-typées. Ces rétractions suivent les lignes de force qui sont perpendiculaires aux articulations. Au cours du bilan articulaire, le bilan analytique de chaque articulation est systéma-tiquement confronté à la mobilité obtenue après enroulement et extension complète de la chaîne digitale qui rend compte de la rétraction cutanée. Il faut aussi tenir compte de l'état de tension de la peau du membre supérieur dans son ensemble. On doit aussi étudier la mobilité des chaînes digitales en faisant varier la position des articulations sus-et sousjacentes. Le gain d'amplitude obtenu après une posture douce et prolongée sur quelques minutes lors du bilan passif permet d'obtenir un étirement cutané qui rend compte de l'amplitude prévisible à moyen terme. Dans le cas de défor-mations peu réductibles, il est parfois difficile de définir la part de responsabilité entre la rétraction cutanée, les adhé-rences, la rétraction musculaire et l'ankylose articulaire. Une série de tests sont proposés pour tenter de comprendre ce qui revient à la peau ou aux structures nobles sousjacentes. Lors du bilan musculaire, on est attentif à l'ordre de flexion des articulations et au déséquilibre entre muscles extrinsèques et intrinsèques. Le bilan sensitif est difficile et doit être répété à distance de la lésion, comme le bilan fonctionnel, car ces bilans se modifient et peuvent demander parfois deux ans d'évolution pour se stabiliser. Pour citer cette revue : Lett. Méd. Phys. Réadapt. 27 (2011). Mots clés Main brûlée · Bilan clinique de main · Rétraction cutanée · Déformations digitales · Raideurs digitalesAbstract There are several steps in the assessment of the hand burn. These enable one to diagnose the cause of weakness of grip and to direct treatment accordingly. The complexity of the examination derives from the degree of skin damage. Any burn which is deep enough to involve the dermis results, at the very least, in changes in the biomechanics and kinetics of the integument together with cutaneous contractures, which restrict mobility. The assessment d...

show abstract

“…Les risques cicatriciels ne concernent que les lésions profondes [1,3,4], c'est-à-dire celles ayant touché le derme et donc franchi la couche basale. On observe à la main 4 types de risques majeurs : la rétraction, l'hypertrophie, la destruction tissulaire et l'atteinte nerveuse qui auront des répercussions fonctionnelles et des risques mineurs, qui seront traités plus tard avec les séquelles pouvant intervenir dans le reclassement professionnel.…”

Section: éVolution Dans Le Tempsunclassified

“…Toute cicatrice évolue en quelques mois pour atteindre la maturité et devenir fibreuse : la cicatrice de brûlure exige de 12 à 24 mois pour parvenir à maturité [1,3,13].…”

Section: éVolution Dans Le Tempsunclassified

“…2) est imprévisible et inconstante [1], elle est d'autant plus à craindre que le délai de cicatrisation a été long avec un risque réel au-delà de la troisième semaine [1,3]. Une surépaisseur inesthétique apparaît 1 à 2 mois après la fermeture de la plaie, et progresse différemment dans le temps selon que l'on a affaire à une cicatrice hypertrophique ou à une chéloïde [4,13,19,20].…”

Section: L'hypertrophieunclassified

See 1 more Smart Citation

Prise en charge de la main brûlée: de la lésion à la consolidation

Rochet

Romanchenko

2006

Lett Med Phys Readapt

View full text Add to dashboard Cite

La brûlure de la main est la lésion thermique la plus fréquente. Le diagnostic de profondeur et la qualité du traitement initial sont fondamentaux pour ne pas aboutir à des complications fonctionnelles qui peuvent être désastreuses.Dans l'immense majorité des cas, la brûlure est superficielle et bénigne ou peu profonde, la main est touchée de manière isolée : c'est le cas de figure que nous nous proposons de traiter car il est le plus fréquent en pratique de ville. Cependant, même dans le cas de lésion initiale simple, si le traitement médical est mal conduit ou le diagnostic de profondeur mal posé, la brûlure peut aboutir à des catastrophes orthopédiques et fonctionnelles que l'on peut cependant rattraper tant que les phénomènes inflammatoires persistent.Les principes de rééducation sont simples, ils reposent sur l'association : immobilisation, mobilisation prudente, compression et hydratation cutanée.En phase initiale et plus tardivement dans le cas de brûlure profonde, les orthèses sont utiles pour conserver ou récupérer le potentiel fonctionnel et réduire la douleur. L'examen de la main doit être méthodique et attentif, avec une large part consacrée à l'évaluation de la trophicité cutanée. C'est l'évaluation de la répercussion de la brûlure sur les différents tissus qui permet au soignant de déterminer un programme de rééducation et réadaptation où la compression, les postures en étire-ment cutané et les massages sont indispensables. À l'état séquellaire, la qualité de l'évaluation permettra de ne pas passer à côté de la réalité d'un préjudice et d'envisager, dans le cas où cela est possible, son dédommagement ; une large part doit être faite aux répercussions fonctionnelles et situationnelles qui doivent être analysées le plus finement possible.

show abstract

Mechanisms of hypertrophic scar and contracture formation in burns

Cited by 17 publications

References 5 publications

Burn Therapists’ Opinion on the Application and Essential Characteristics of a Burn Scar Outcome Measure

Burn Therapists’ Opinion on the Application and Essential Characteristics of a Burn Scar Outcome Measure

Bilan de la main brûlée séquellaire

Prise en charge de la main brûlée: de la lésion à la consolidation

Contact Info

Product

Resources

About