Metastasis of a gastric adenocarcinoma to the mandible

Irani, Soussan; Moshref, Mohammad; Lotfi, Alireza

doi:10.1016/j.ooe.2004.05.002

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“…[1] Oral cavity metastases are mostly observed in the jaws compared to the soft tissues, particularly in the posterior area of the mandible. [234] Only 33% of oral metastatic lesions are seated in the soft tissues. [3] A specific site for metastasis is the post-extraction site.…”

Section: Introductionmentioning

confidence: 99%

Metastasis to the oral soft tissues: A review of 412 cases

Irani

2016

J Int Soc Prevent Communit Dent

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The present review article analyzes the characteristics of metastases to the oral soft tissues from 1937 to 2015. An extensive literature search was performed. All variables such as age, gender, and primary and secondary tumor sites were analyzed. Metastases to the major salivary glands were not included in this review. In general, there were 412 metastatic lesions developed in the oral soft tissues. The male-to-female ratio was approximately 1.8:1. The mean age of the patients at diagnosis was 58. The lung was the most common primary site and the gingiva was the most common metastatic site. The greater part of the histological examination yielded adenocarcinoma. The diagnosis of a metastatic lesion in the oral cavity is a challenge to the clinicians due to the lack of pathognomonic signs and symptoms. Oral metastases usually occur in the advanced stages of cancers, and the interval between appearance and death is usually short. The oral soft tissue metastasis can be easily recognized compared to the metastasis of jawbones. Early detection of oral lesions is important in the case of being the first sign of a malignancy in other parts of body.

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Section: Introductionmentioning

confidence: 99%

Metastasis to the oral soft tissues: A review of 412 cases

Irani

2016

J Int Soc Prevent Communit Dent

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“…Les contours nets de la lésion et l'image multiloculaire associés la présence d'un liséré d'ostéocondensation périphérique ne permettaient pas d'évoquer formellement une lésion cancéreuse sans envisager d'autres affections bénignes : un améloblastome, un kératokyste... La mandibule constitue un site rare pour le développe-ment de métastase : ces métastases représentent 1 % de l'ensemble des tumeurs malignes de la cavité buccale [7,11] avec une localisation plus fréquente dans la région molaire [7,18] et une prévalence majorée chez les sujets de plus de 50 ans [5,6]. L'abondante vascularisation de cette région et sa richesse en cellules hématopoïétiques peuvent expliquer cette localisation [6,12].…”

Section: Discussionunclassified

Tumeur maligne ou kératokyste ? A propos d’un cas

Baumann

Ridoux

Lindner

et al. 2012

Med Buccale Chir Buccale

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Résumé -La découverte radiologique fortuite d'une lésion radiotransparente envahissant les maxillaires représente souvent un défit diagnostique pour le clinicien. Cet article présente le cas d'un patient adressé initialement pour une tumeur maligne. Les étapes de la prise en charge sont détaillées depuis la consultation jusqu'au diagnostic final de kératokyste. Toutes les étapes du traitement sont présentées et les différentes possibilités thérapeutiques envisagées. Le diagnostic clinique et radiologique entre une tumeur maligne et un kératokyste est parfois difficile ; pour cette raison, le kératokyste odontogène est de plus en plus considéré comme une néoplasie kystique bénigne. Abstract -Malignant tumor or keratocyst?A case report. Fortuitous discovery of a maxillary lesion on radiologic imagery is a challenge to make the etiologic diagnosis. The purpose of this article is to present a case of a patient with a suspicion of a malignant maxillary tumor. All steps are detailed from the first consultation to the final diagnose of keratocyst. All points of therapeutic coverage are discussed. The clinic and radiologic items of a malignant tumor and a kertocyst can be difficult to distinguish and that is why in literature the keratocyst is more and more consider as a cystic benign neoplasia.La sémiologie clinique et radiologique peu spécifique associée à la diversité histologique des tumeurs des maxillaires font de la pathologie oro-faciale un véritable défi diagnostique. La convergence des données cliniques et d'imageries sont une aide indispensable pour l'anapathologiste pour identifier pré-cisément une lésion ; de ce résultat histologique découlera l'attitude thérapeutique. L'objectif de cet article sera de présenter le cas d'un patient pour lequel une volumineuse lésion de l'angle mandibulaire droit a été diagnostiquée et initialement étiquetée comme métastase osseuse. Nous détaillerons les étapes du diagnostic et la prise en charge.

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“…Elles représentent 1 % de l'ensemble des tumeurs malignes de la région buccale [1][2][3] ; 70 % des mé-tastases siègent dans la mandibule [4,5], surtout la région molaire [3,6]. Dans tous les cas présentés, la région molaire était atteinte.…”

Section: Discussionunclassified

“…Les métastases mandibulaires sont rares : elles représen-tant environ 1 % de l'ensemble des tumeurs malignes de la cavité buccale [1][2][3]. Elles siègent principalement dans la ré-gion molaire, plus richement vascularisée que la région antérieure [3].…”

unclassified

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