Écrire, Écrire, Pourquoi ? Olivier Rolin 2010
DOI: 10.4000/books.bibpompidou.1103
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Olivier Rolin. Entretien avec Nathalie Crom

Abstract: Chargée d'édition et de mise en page Julie Baudrillard Avertissement : L'adaptation de cet entretien de l'oral à l'écrit a pu entraîner des modifications de style ou de forme, ce qui explique les différences éventuelles entre cette publication et l'enregistrement réalisé lors de la rencontre.

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“…Le minuscule, le singulier, plutôt que le pluriel. Ce qu'elle appelle « la tragédie du quotidien » plutôt que la tragédie de l'histoire31 .La paralysie du mari est lue comme une « Métaphore de la paralysie d'un couple qui s'enlise » 32 , ainsi que l'explique le magazine people VSD. La seule réserve d'ordre moral vient d'Alain Delaunois qui, dans le quotidien belge Le Soir, trouve l'exercice « parfois trop amer, qui entraîne par moment le roman dans un exercice d'autolagellation excessif », mais, conclut-il néanmoins, Mari et femme conirme « […] que le roman israélien devra désormais compter sur le scalpel acéré de Zeruya Shalev »33 .Certains critiques voient néanmoins dans cette paralysie du couple une « parabole politique » des relations israélo-palestiniennes, comme l'explique Emmanuelle Deschamp dans Air France Madame, « car, poursuit-elle, c'est une Israélienne qui nous parle d'espoir et de réconciliation » 34 .…”
unclassified
“…Le minuscule, le singulier, plutôt que le pluriel. Ce qu'elle appelle « la tragédie du quotidien » plutôt que la tragédie de l'histoire31 .La paralysie du mari est lue comme une « Métaphore de la paralysie d'un couple qui s'enlise » 32 , ainsi que l'explique le magazine people VSD. La seule réserve d'ordre moral vient d'Alain Delaunois qui, dans le quotidien belge Le Soir, trouve l'exercice « parfois trop amer, qui entraîne par moment le roman dans un exercice d'autolagellation excessif », mais, conclut-il néanmoins, Mari et femme conirme « […] que le roman israélien devra désormais compter sur le scalpel acéré de Zeruya Shalev »33 .Certains critiques voient néanmoins dans cette paralysie du couple une « parabole politique » des relations israélo-palestiniennes, comme l'explique Emmanuelle Deschamp dans Air France Madame, « car, poursuit-elle, c'est une Israélienne qui nous parle d'espoir et de réconciliation » 34 .…”
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