Although locomotory performance in vertebrates is related to fitness, most performance tests are conducted in a laboratory setting, or in a manner that forces the organism to move not of their own volition. Biotelemetry offers the possibility to measure voluntary activity in a natural setting and provides the opportunity to combine laboratory-derived data with field studies on wild fish. In this study, it was found that laboratory-and field-based measurements of swimming performance and voluntary activity resulted in similar general seasonal trends, though each measurement assessed a different swimming type. In the field, all swimming metrics were lower at cooler water temperatures and were lowest during early winter (mean daily activity = 0.016 BL/s; mean voluntary swimming activity = 0.04319 BL/s; maximum swimming speed = 0.17 BL/s). In the laboratory, fish acclimatized to 25.0, 14.0, and 7.5 8C decreased swimming performance (Ucrit) with water temperature (25.0 8C (2.17 BL/s); 14.0 8C (1.69 BL/s); 7.5 8C (1.17 BL/s). Although some species and tissues have been shown to exhibit different degrees of thermal adaptation, these results show that swimming, one of the most important functions in fish, is largely dependent on environmental temperature, at least in largemouth bass (Micropterus salmoides (Lacepède, 1802)).Résumé : Bien que la performance de locomotion chez les vertébrés soit reliée à la fitness, la plupart des tests de performance sont faits dans un milieu de laboratoire ou dans une situation qui force les animaux à se déplacer, donc pas de leur propre volonté. La biotélémétrie permet de mesurer l'activité volontaire dans un milieu naturel et fournit l'occasion de combiner les données obtenues en laboratoire et les études sur le terrain de poissons sauvages. Dans notre travail, les mesures en laboratoire et sur le terrain de performance de nage et d'activité volontaire montrent les mêmes tendances saisonnières générales, bien que chaque mesure évalue un type de nage différent. En nature, toutes les métriques de nage sont plus basses aux températures d'eau plus fraîches et sont minimales au début de l'hiver (activité journalière moyenne = 0,016 BL/s; activité volontaire moyenne de nage = 0,04319 BL/s; vitesse de nage maximale = 0,17 BL/s, où BL est la longueur du corps). En laboratoire, les poissons acclimatés à 25,0, 14,0 et 7,5 8C diminuent leur performance de nage (U crit ) en fonction de la température de l'eau (25,0 8C (2,17 BL/s); 14,0 8C (1,69 BL/s); 7,5 8C (1,17 BL/s)). Bien qu'on ait dé-montré que certaines espèces et certains tissus présentent des degrés divers d'adaptation thermique, nos résultats établissent que la nage, une des fonctions les plus importantes chez les poissons, est en grande partie dépendante de la température du milieu, au moins chez les achigans à grande bouche (Micropterus salmoides (Lacepède, 1802)).[Traduit par la Rédaction]