Partial cystectomy: Is it a reliable option for the treatment of bladder

Abstract

Bladder leiomyosarcoma is a unique mesenchymal tumour, accounting for less than 0.5% of all primary bladder malignancies. Bladder leiomyosarcoma used to be treated with radical surgery in either old or young patients, often resulting in significant impact on the patients's quality of life after surgery. We report on a case of bladder leiomyosarcoma in a 31-year-old female who was treated with partial cystectomy. Fortunately, no tumour metastasis or relapse was observed during the 7-year follow-up period and the patient now has a good quality of life. We found that partial cystectomy may be an acceptable option to treat bladder leiomyosarcoma in the low MSKCC (Memorial Sloan-Kettering Cancer Center) stage.

Pregnancy After Enterocystoplasty: A Case Report.

“…It is based on a partial cystectomy, for small superficial tumors [3] and a radical cysto-prostatectomy in men or anterior pelvectomy in women in case of infiltrating tumors. [4] In our patient she benefited from a total cystectomy sparing the internal genital organs, considering the field (single without child) and seen her young age (aesthetic point of view), the laparoscopic route was preferred, and a replacement enterocystoplasty was realized.…”

“…It is based on a partial cystectomy, for small superficial tumors [3] or anterior pelvectomy in case of infiltrating tumors. [4], which makes childbirth difficult especially in case of cesarienne Case Report:-This is a 34-years-old patient, followed for FNCLCC grade I bladder leomyosarcoma, for which she underwent an enterocystoplasty in 2014. The extension assessment did not reveal any metastasis, so she did not require chemotherapy and a regular monitoring revealed no recurrence as well as a favorable post-operative evolution.…”

Leiomyosarcome de la vessie chez une patiente de 64 ans

“…Les tumeurs de la vessie représentent le 4 ème cancer par ordre de fréquence chez l'homme et le 12 ème chez la femme, dominées par les tumeurs urothéliales [ 4 ]. Les sarcomes vésicaux quant à eux sont rares, et ne représentent que 5% des tumeurs de la vessie, avec moins de 1% de leiomysarcome dans cette localisation [ 1 , 2 ]. La symptomatologie clinique est dominée par les symptômes urinaires, principalement une hématurie macroscopique dans 81% des cas; mais le diagnostic est exceptionnellement suspecté à cette étape de l’évolution vu la rareté de cette pathologie [ 3 , 5 ].…”

“…Plusieurs facteurs de risques ont étaient suggérés, principalement la mutation du gène du rétinoblastome, l'exposition au cyclophosphamide et la radiothérapie [ 2 ]. Les facteurs pronostiques décrits dans la littérature sont: la taille tumorale, la dédifférenciation, l'invasion lymphatique, les limites de résection, l'atteinte ganglionnaire et la présence de localisations secondaires [ 1 , 3 , 5 ]. La cystectomie (associée à une colpohysterectomie ainsi qu’à une résection de la collerette vaginale chez la femme) est le traitement de référence, malgré que la résection de la tumeur avec des marges saines suivie d'une radiothérapie n'est pas inférieure en termes de résultats au long terme.…”

“…Les leiomyosarcomes vésicales sont des tumeurs rares. Seulement 5% des tumeurs de la vessie sont d'origine non épithéliale et moins de 0,5% sont des leiomyosarcomes, avec une centaine de cas rapportés dans la littérature [ 1 , 2 ]. La rareté de cette localisation rend difficile l’établissement d'une stratégie thérapeutique standardisée.…”