“…Le premier est fondé sur la relation client : il s'agit de l'insérer durablement dans la dépendance au marché en vue d'accumuler du patrimoine privé. Le second est le logiciel libre ; il s'agit d'un patrimoine social (collectif ou commun, selon les formes ou les règles d'accès), au sens où c'est une ressource libre pour le groupe social considéré (Billaudot, 2004). Dans la philosophie de Stallman (« free software, free society »), l'importance prise par l'informatique impose, si l'on souhaite rester libre, la formation de patrimoines communs.…”