“…Si, comme dans bien d'autres interféromètres (ISI [55], SUSI [51], le VLTI [56] et le LBTI [57]) on préfère laisser la ligne à retard dans l'air ambiant, donc au voisinage du sol, il faut calculer non seulement les déplacements qui vont égaliser entre eux ∆ ′ A et −∆ A pour une longueur d'onde donnée de la bande spectrale utilisée, mais encore la dispersion causée sur ces grandeurs par l'air dans les trajets au sol, que l'on suppose à température et pression constante -car, même s'ils ne sont pas sous vide, ils sont au moins protégés grâce à un ensemble de passages aménagés (appelé « le métro » au VLTI [58, p. 191-192]). Avec une ligne à retard ordinaire sur la voie (2) le chromatisme de ∆ ′ A est beaucoup plus grand que celui de −∆ A , donc il faudra compenser cet excès de chromatisme par des dispersions équivalentes avec une lame à faces parallèles compensatrice (habituellement en verre) d'épaisseur e ajustable, mise sur (1) entre A ′ et la sortie de (T 1 ).…”