“…Mentionnons également quatre positions plus complexes, voire parfois ambiguës : Cornford (1932), qui considère dans un premier temps qu'il faut distinguer la dialectique appliquée à la recherche mathématique, pour laquelle le principe anhypothétique est l'existence de l'unité, de la dialectique appliquée à la recherche morale, pour laquelle ce principe est l'Idée du bien, avant de tenter de montrer dans un second temps que ces principes forment en réalité une unité ; , pp. 291-292, qui, en employant le pluriel νυπ ετα, laisse entendre qu'il n'identifie pas ce principe à l'Idée du bien ; Rose (1966), selon qui le principe anhypothétique est la désirabilité du bien plutôt que l'Idée du bien elle-même ; enfin, Dixsaut (2001), p. 91, qui, tout en suggérant que le « principe de tout » « n'est pas forcément ni toujours le Bien, [mais] seulement le principe de la totalité d'une démarche dialectique », ajoute : « Cependant, il est certain que le Bien est le telos de tout l'intelligible, et dans cette mesure l'expression « principe de tout » peut également renvoyer au principe de toute intelligibilité, autrement dit au Bien. Chaque démarche dialectique particulière ne va pas nécessairement, de façon explicite, jusqu'au Bien, mais toute démarche dialectique implique l'intelligence de ce qu'est le Bien » (souligné dans le texte.…”