In central Flores, local people represent obligatory exchanges of objects at funerals as signalling a cessation of relations between affinally related groups, thus contradicting a well‐established local principle whereby affinal relationships transcend the lives of individual participants. Illuminating this contrast is a mortuary context that comprises rites emphasizing separation and a particularly negative view of the dead to the exclusion of a more positive representation of relations between the dead and the living expressed in religious ideology. However, as a purely ethnographic analysis cannot actually resolve the contradiction, consideration is given to cognitivist perspectives, and especially approaches focusing on counterintuitive features of ritual and religious representations that contradict ordinary understandings of things.
Résumé
Les populations du centre de l'île de Florès représentent les échanges obligatoires d'objets lors des funérailles comme le signal de cessation de relations entre des groupes liés par affinité, en contradiction avec un principe local bien établi selon lequel les relations d'affinité survivent aux personnes concernées. Cette opposition est éclairée par un contexte mortuaire comprenant des rites qui mettent l'accent sur la séparation et sur une vision singulièrement négative des morts, excluant la représentation plus positive des liens entre les morts et les vivants qu'exprimerait l'idéologie religieuse. Une analyse purement ethnographique ne suffit cependant pas à résoudre cette contradiction, et il faut donc recourir à une perspective cognitiviste, et en particulier à des approches axées sur les aspects apparemment contre‐intuitifs du rituel et sur les représentations religieuses qui contredisent l'entendement habituel des choses.