Rapid prediction of natural durability of larch heartwood using Fourier transform near-infrared spectroscopy

Gierlinger, Notburga; Jacques, Dominique; Schwanninger, Manfred; Wimmer, Rupert; Hinterstoisser, Barbara; Pâques, Luc

doi:10.1139/x03-092

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“…Some results have already been reported (Gierlinger, 2003;Gierlinger et al, 2003;2004a;2004b;Jacques et al, 2002). This study evaluates the variability of natural durability among larch species and among and within provenances of European larch.…”

Section: Introductionmentioning

confidence: 74%

Variabilité de la résistance à la dégradation du bois de mélèze par les champignons

et al. 2008

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Abstract• Decay resistance of larch (Larix sp.) to fungi was evaluated on heartwood samples belonging to 3 species (L. decidua, L. kaempferi and their hybrid), 3 races of European larch (polonica, sudetica and alpine), 13 wood lots (populations) and 313 trees.• Larch wood appeared, on average, as moderately durable although a high variability was observed. At the sample level as well as at the mean individual tree level, durability ranged from class 1 to 5 according to EN 350-1 standard. At the population level, larch wood varied from 'durable' to 'slightly durable'. Genetics played a major role in decay resistance at the species, provenance and tree levels. Environmental factors such as the position of heartwood samples and the age of trees were also identified as a source of variability.• The most durable wood was not necessarily from old native alpine stands of European larch: some young larches from faster growing lowland origins also produced durable wood.• Genetic improvement of larch wood durability appeared therefore likely by the selection of the best populations for decay resistance as well as from the selection of individuals. Mots-clés :durabilité naturelle / champignon / Larix / génétique / effet environnemental Résumé -Variabilité de la résistance à la dégradation du bois de mélèze par les champignons.• La résistance à la dégradation du bois de duramen du mélèze (Larix sp.) est évaluée à partir d'un échantillon d'éprouvettes extraites de 313 arbres appartenant à 3 espèces (L. decidua, L. kaempferi et leur hybride), 3 races de mélèze européen (polonica, sudetica et alpine) et 13 lots différents.• Le bois de mélèze apparaît, en moyenne, comme 'modérément durable', mais une grande variabilité due à plusieurs facteurs a été observée. Au niveau arbres et échantillons, la durabilité naturelle s'étend de la classe 1 à 5 suivant la norme EN 350-1. Suivant les origines, le bois de mélèze peut être classé comme 'durable' à 'faiblement durable'. Les facteurs génétiques jouent un rôle significatif sur la résistance à la dégradation du bois aux niveaux espèce, provenance et arbre. Des facteurs environnementaux tels que la position des échantillons au sein du duramen et l'âge des arbres ont également été mis en évidence.• Le bois à plus forte durabilité ne provient pas exclusivement des vieux peuplements naturels de mé-lèze alpin : certaines origines de mélèze cultivées à basse altitude et constituées d'arbres plus jeunes et à croissance rapide peuvent aussi produire du bois durable.• L'amélioration génétique de la durabilité naturelle du mélèze apparaît donc comme envisageable au travers de la sélection des meilleures populations et des meilleurs individus.

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Section: Introductionmentioning

confidence: 74%

Variabilité de la résistance à la dégradation du bois de mélèze par les champignons

et al. 2008

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“…The first results on the prediction of decay resistance based on colour parameters are encouraging, but colour measurement cannot be the only element considered for predicting decay resistance. It would be interesting to combine methods like infrared or near-infrared spectroscopy to improve the predictions like with Larch species (Gierlinger et al, 2003). Wood colour and decay resistance were found to be related with the extractive content.…”

Section: Relation Between Colour and Durabilitymentioning

confidence: 99%

Colour and decay resistance and its relationships in Eperua grandiflora

Amusant

Fournier²,

Beauchêne

2008

Ann. For. Sci.

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Abstract• Eperua grandiflora, which is widely distributed in the French Guiana forest region, shows high variability in decay resistance. Further information concerning this wood quality parameter is necessary, but standard testing methods are complex and time-consuming. We assessed the use of colorimetry to determine durability in heartwood samples from a range of trees.• Eperua grandiflora colour parameters were measured using a CIELAB system, revealing that the tree effect was greater than the radial position and height effects.• The wood samples were exposed to Coriolus versicolor and Antrodia sp. according to two European standards (En 350-1 and XP CEN TS 15083-1). Eperua grandiflora is more susceptible to brown rot. These two standards did not give the same durability classes. The high variation in natural durability was due to the tree effect.• These two properties were found to be correlated and the assessment also distinguished the extreme durability classes but they are not sufficient to classify the class of durability of this species. Mots-clés :durabilité naturelle / couleur / résistance à la pourriture / duramen / bois tropicaux Résumé -Étude de la variabilité de la couleur, de la durabilité naturelle et recherche de corré-lations chez Eperua grandiflora.• Eperua grandiflora, essence largement répandue dans les forêts de Guyane soufre d'un défaut majeur : une grande variabilité de sa durabilité naturelle à l'égard des champignons lignivores. Dans un premier temps, nous avons étudié la variabilité de la mesure de la couleur selon le système CIElab afin de vérifier si la colorimétrie peut être utilisée comme un indicateur de la durabilité naturelle.• Nous avons étudié la résistance de cette essence à l'échelle inter, et intra-arbres à l'égard de Coriolus versicolor et Antrodia sp., conformément aux normes européennes en vigueur : EN 350-1 et XP TS 15083-1. Les résultats ont révélé qu'Eperua grandiflora est plus sensible au champignon de pourriture brune.• De même, l'utilisation des normes a montré que l'on n'obtenait pas les mêmes classes de durabilité. La variabilité de la durabilité et de la couleur est plus importante à l'échelle inter-arbres qu'à l'échelle intra-arbre.• Enfin, ces deux propriétés sont corrélées mais nous ne pouvons envisager d'utiliser la colorimé-trie comme indicateur de la durabilité naturelle, car elle ne permet de différencier que les classes extrêmes.

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“…Chemical composition of larch wood is variable, which is e.g. refl ected in variable durability of larch heartwood, reported to range from nondurable to moderately durable (class 5 to 3, European Standard EN 350-1) (Gierlinger et al, 2003).…”

Section: Introduction 1 Uvodmentioning

confidence: 99%