“…Le qualificatif prudent de «fermegrenier » lui a été attribué par son inventeur. Son apparent isolement peut conduire à assimiler cet aménagement de stockage à une des structures rurales d'un ensemble domanial plus étendu de l'élite régionale : a, plan au 1/2 000 ; b, plan interprétatif au 1/1 000 ; c, vue aérienne horizontale du site (a, d'après Verdin et al, 1997, p. 168-169 ;b, d'après Verdin, 2000, p. 147 ;c, cliché Boissinot, 1998b, p. 42;c, d'après Boissinot, Gantés, 2000, p. 262 (Arcelin, 2000c) et de comptoirs indigènes en arrière du littoral d'autre part, comme ceux d'Espeyran à Saint-Gilles (Barruol, Py, 1978) et du Cailar, dans le Gard (Py et al, 2002). Ce véritable monopole se maintiendra au moins jusque dans les premières années du IIe s., cédant alors rapidement du terrain face aux importations de l'Italie romaine (Bats, 1992, p. 273-277).…”