“…Ceci nous rend possible, d'une part, l'analyse séparée de la contribution, à la luminescence spécifique dS/dx, des deux signaux prompt et différé, d'autre part l'explication du défaut de linéarité observé dans la réponse des scintillateurs, par des interactions entre paires d'activations. Nous poursuivons ainsi un traitement différent de celui adopté dans d'autres modèles [14,15] lesquels sont plutôt basés sur la définition de volumes sensibles contenant des centres luminescents dont la concentration, liée à la dose d'électrons secondaires contenue dans chacun de ces volumes, constitue un facteur déterminant du rendement lumineux.…”