“…Hommes et femmes élaborent des représentations différentes de leur corporéité, dans ce contexte, en lien avec les constructions contemporaines de la féminité et de la masculinité [46]. Chez les femmes, les représentations du corps malade sont plus holistiques, moins limitées à l'affection et plus centrées sur sa composante esthétique [22,61]. Pour les hommes, le corps est davantage décontextualisé, limité à ses fonctions biologiques, voire mécaniques [22,53].…”