2006
DOI: 10.1007/s10803-006-0223-x
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Slowing Down Presentation of Facial Movements and Vocal Sounds Enhances Facial Expression Recognition and Induces Facial–Vocal Imitation in Children with Autism

Abstract: This study examined the effects of slowing down presentation of facial expressions and their corresponding vocal sounds on facial expression recognition and facial and/or vocal imitation in children with autism. Twelve autistic children and twenty-four normal control children were presented with emotional and non-emotional facial expressions on CD-Rom, under audio or silent conditions, and under dynamic visual conditions (slowly, very slowly, at normal speed) plus a static control. Overall, children with autis… Show more

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“…Indeed, slowing down movements can lead to better understanding of social environment (Gepner et al 2009;Tardif et al, 2007).…”
Section: Autism and Anticipationmentioning
confidence: 99%
“…Indeed, slowing down movements can lead to better understanding of social environment (Gepner et al 2009;Tardif et al, 2007).…”
Section: Autism and Anticipationmentioning
confidence: 99%
“…En accord avec l'hypothèse de Welsh et al [24], il est vraisemblable que certains événements sensoriels (notamment les flux visuels, sonores et tactilo-kinesthésiques rapides, ou les changements environnementaux physiques et biologiques rapides) surviennent et parviennent trop vite à certaines personnes autistes, et débordent leurs capacités cérébrales de synchronisation, et du coup désynchronisent les décharges neuronales au sein d'un système et entre plusieurs systèmes, altèrent la connectivité intracérébrale et produisent des cascades mal-développementales au sein de nombreux mécanismes neuropsychodéveloppementaux, de manière plus ou moins envahissante. Une hyper-synchronisation pourrait, quant à elle, survenir soit d'emblée pour certains stimuli (statiques notamment), soit secondairement à une désynchronisation, pour en compenser les effets néfastes, et dépasser parfois ses objectifs sous la forme d'hyper-synchronisation pathologique et d'épilepsie [6,7,29]. Pour rendre compte de la parenté de certains signes cliniques présents dans les désordres autistiques d'un côté, et les syndromes dys-(dysphasie, dyslexie, dyspraxie...), les troubles attentionnels avec ou sans hyperactivité et les syndromes épileptiques, d'un autre côté, nous avons également suggéré que ces divers troubles neurodéveloppementaux partageaient sans doute au moins un mécanisme physiopathogénique commun.…”
Section: Titleunclassified
“…En résumé, il n'apparaît pas dans l'autisme de différence fondamentale dans le traitement sensoriel en soi, mais on relève une spécificité (1) dans la façon dont l'information entrante est traitée et interprétée et (2) dans sa vitesse de traitement [36][37][38][39].…”
Section: Evaluer Et Guider L'actionunclassified