Tuberculose de la jonction cranio-rachidienne

Allali, Nazik; Quessar, Asmâa; Melhaoui, A.; Hassani, M.R. El; Chakir, N.; Jiddane, M.

doi:10.1016/s0150-9861(04)96883-6

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“…La tuberculose rachidienne est encore fréquente en milieu endémique, y compris notre pays (1,2,3,4). Cependant, le mal de Pott sous occipital est considéré comme rare, représentant 0,3 à 1 % des formes rachidiennes de tuberculose (1,2,3,4,5). Depuis 1834 jusqu'à nos jours, une centaine de cas ont été recensés dans la littérature (5).…”

Section: Discussionunclassified

“…Depuis 1834 jusqu'à nos jours, une centaine de cas ont été recensés dans la littérature (5). La tuberculose rachidienne, en particulier sous occipitale peut se rencontrer à tout âge avec un pic entre 20 et 30 ans (3,4,6,7). Dans les cas rapportés dans la littérature, il n'y avait pas de prédominance de sexe (3,4).…”

Section: Discussionunclassified

“…La tuberculose rachidienne, en particulier sous occipitale peut se rencontrer à tout âge avec un pic entre 20 et 30 ans (3,4,6,7). Dans les cas rapportés dans la littérature, il n'y avait pas de prédominance de sexe (3,4). Les formes pédiatriques sont rares (7,8).…”

Section: Discussionunclassified

“…Une IDR négative peut s'observer, et n'écarte pas le diagnostic (9,10). Le diagnostic de certitude d'une spondylodiscite tuberculeuse repose sur la mise en évidence du bacille tuberculeux dans le foyer pottique ou la découverte à l'examen histologique du fragment prélevé par biopsie de lésions hautement évocatrices de tuberculose (4,6). Cette biopsie peut être obtenue par une ponction biopsie vertébrale sous contrôle tomodensitométrique (5).…”

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“…diagnostic de façon précoce (1,2). La radiographie standard de la charnière cervico-occipitale et du rachis cervical peut retarder le diagnostic à cause de la difficulté d'interprétation (2,4,11,12) mais reste l'examen radiologique à réaliser de première intention devant toute rachialgie traînante (9,11). Actuellement l'IRM représente l'examen de choix pour le diagnostic de spondylodiscite tuberculeuse (1,3,4,6,8,11).…”

Section: Le Mal De Pott Sous Occipital Révélé Par Un Abcès Rétro Pharyngien : a Propos D'un Casunclassified

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Le mal de pott sous occipital révélé par un abcès rétro pharyngien a propos d’un cas

Moalla¹,

Mnejja²,

Kallel³

et al. 2010

Journal Tunisien d'ORL Et De Chirurgie Cervico-Faciale

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INTRODUCTIONLe mal de Pott sous occipital est défini par l'atteinte tuberculeuse des deux premières vertèbres cervicales et des articulations occipito-atloïdiennes et atloïdo-axoidiennes. Il s'agit d'une localisation exceptionnelle de la tuberculo-se ostéoarticulaire et représente 0,5 à 5 % des atteintes rachidiennes. Le motif de consultation le plus fréquent est représenté par les cervicalgies. Cependant, la dysphagie et l'abcès rétro pharyngien peuvent être aussi révélateurs du mal de Pott sous occipital.

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Section: Le Mal De Pott Sous Occipital Révélé Par Un Abcès Rétro Pharyngien : a Propos D'un Casunclassified

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Le mal de pott sous occipital révélé par un abcès rétro pharyngien a propos d’un cas

Moalla¹,

Mnejja²,

Kallel³

et al. 2010

Journal Tunisien d'ORL Et De Chirurgie Cervico-Faciale

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Tuberculosis of the craniovertebral junction

et al. 2012

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Purpose Tuberculosis (TB) of craniovertebral junction (CVJ) occurs in 1-5 % of cases of TB spondylitis. This can be a life-threatening condition due to mass effect of infective process or resultant instability. Surgical indications for TB of CVJ are not clear from literature. Methods We have reviewed all the patients with TB of CVJ admitted at our center between 2005 and 2010. Results There were 15 patients including 10 males and 5 females. Average age was 38 years and average duration of symptoms was 8 months. All patients were started on multidrug antituberculous chemotherapy and skull traction. Those patients who failed to respond in 4-6 weeks and had persistent instability or neurological deficit were offered surgery. Rest was treated conservatively by immobilisation or traction. All five patients who were surgically treated had occipitocervical fusion (OCF) with titanium screws and plate/rod construct combined with posterior decompression if needed. Only one patient needed anterior surgery in addition to OCF at a later stage. All patients improved neurologically whether they were treated surgically or conservatively. Only difference was that surgically treated patients had earlier pain relief, mobilisation, neurological improvement and lesser complications. Conclusion We recommend that all patients with TB of CVJ with instability and neurological compromise, who fail to respond to 4-6 weeks of antituberculous chemotherapy and skull traction should be offered occipitocervical fusion with or without posterior decompression. Anterior surgery will be needed only in those few cases who do not improve neurologically after OCF.

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