“…En cas de persistance d'un doute diagnostic, le recours à l’écho-endoscopie est d'un grand apport car elle permet une meilleure étude du contenu kystique [ 16 ]. Cependant, la confrontation des données épidémiologiques, radiologiques (échographie, tomodensitométrie, IRM et éventuellement, écho-endoscopie) et immunologiques permettent, parfois, de confirmer la nature hydatique d'une masse kystique pancréatique [ 3 , 5 , 6 , 11 , 17 ]. Le diagnostic différentiel se pose avec les autres tumeurs macro-kystiques du pancréas [ 18 , 20 ].…”