BackgroundCongenital malformations of the seminal vesicle are uncommon, and most of them are cystic malformations. If an insult occurs between the 4th and the 13 h gestational week, the embryogenesis of the kidney, ureter, seminal vesicle, and vas deferens could be altered. Cysts of the seminal vesicle may appear with a mass effect, dysuria, epididymitis, or obstruction of the gastrointestinal and genitourinary tracts. Approximately two thirds of them are associated with ipsilateral renal agenesis, because both the ureteral buds and seminal vesicles originate from the mesonephric (Wolffian) duct. They were first described by Zinner in 1914, and 200 cases of seminal vesicle cysts associated with ipsilateral renal agenesis have been reported in the literature. Most patients with this anomaly are asymptomatic until the third or fourth decade of life. Some cases have nonspecific symptoms such as prostatism, urinary urgency, dysuria, painful ejaculation, and perineal discomfort. Transrectal ultrasonography provides good visualization of the pelvic structures and allows guidance for aspiration of the cysts.Case presentationWe present two cases of seminal vesicle cyst. The first patient had dysuria, increased frequency of urination, and haematuria. He was operated and benefited from a removal of the cyst with right ureterectomy and left ureteral reimplantation. The second patient had disorder of the digestive transit and he benefited from a laparoscopic removal of the cyst.ConclusionsSeminal vesicle cysts combined with ipsilateral renal agenesis are rare urological anomalies. Usual symptoms that are caused by the seminal vesicle cysts are bladder irritation and obstruction as well as pain in the perineum and scrotum. Epididymitis is frequently found. Treatment consists to removing the seminal vesicle cyst.
Experience with this group of patients leads us to believe that isolated sigmoid segments provides a cosmetic, self-lubricating neovagina with low rates of failure and revision, and without the need for routine dilation.
Hemangiomas are benign vascular tumors. They are the prerogative of the liver and skin. And genitourinary localizations are rare and have only been rarely reported in the prostat, bladder, ureter or the perineum. In the light of published cases, urethral hemangiomas are mostly found in males. Few cases of hemangioma in the female urethra were reported. We report a cavernous hemangioma of the urethra in a 61 years old patient who presented bleeding from the urethra and micturition disorders. Physical examination revealed a tumor 3 cm x 2 polyploid arising from the terminal urethra (urethral hemangioma). We performed surgical resection of the tumor, along with bladder drainage. The postoperative course was simple. We update through a review of the literature aspects of the diagnostic and therapeutic care of the urethral hemangioma.
RESUMEObjectif: Analyser les différents aspects épidémiologiques, cliniques, radiologiques, pathologiques et thérapeutiques du cancer du rein dans notre contexte. Patients et méthodes: Il s'agit d'une étude rétrospective à partir des dossiers des patients hospitalisés à notre service d'urologie pour tumeurs du rein entre 1990 et 2007. Sur les 155 dossiers consultés, 125 patients ont été traités chirurgicalement, et pour 30 patients, l'abstention a été justifiée par le stade évolué localement ou métastatique et/ou le mauvais état général. Les paramètres étudiés ont été : l'âge, la symptomatologie clinique, le bilan radiologique, le type d'intervention, les résultats anatomopathologiques et le stade histologique TNM. Tous les patients ont été revus avec un examen clinique, une échographie ou tomodensitométrie abdominale avec radiographie thoracique et une créatinémie.Résultats: Il s'agissait de 105 hommes et 50 femmes. L'âge moyen de découverte était de 60 ans (extrêmes : 18 et 85 ans). Le délai moyen entre l'apparition des symptômes et le diagnostic était d'environ 9 mois (extrêmes : 1 et 24 mois). L'hématurie était le signe révélateur le plus important noté chez 45,2% des cas. Le diagnostic a été basé sur le couple échographie -tomodensitométrie chez tous nos patients. La taille tumorale moyenne était de 10 cm (extrêmes 3 et 20 cm) lors du bilan initial. Le rein gauche était touché plus souvent que le rein droit (67% vs. 33%). Le bilan d'extension à distance était négatif chez 95 patients (61,3%), alors que 60 patients avaient des métastases viscérales et/ou ganglionnaires. Parmi ces derniers, 30 avaient un mauvais état général et/ou des métastases viscérales multiples ce qui a contre indiqué le geste opératoire. Les localisations métastatiques des 30 patients opérés étaient les suivantes: poumons (5 cas), ganglions (15 cas), os (2 cas), foie (8 cas). Plus de 80% des tumeurs étaient des carcinomes à cellules claires (carcinomes conventionnels). L'intervention a consisté à une néphrectomie totale élargie à ciel ouvert chez tous nos patients opérés. La médiane de suivi était de 62 mois (extrêmes: 6-72 mois). Trente patients ont été perdus de vue définitivement après l'intervention. Sur l'ensemble de la série, les taux respectifs de survie sans récidive à 3 ans et à 5 ans étaient de 78,4% et 47,2%. Conclusion: Le cancer du rein est une pathologie qui n'est pas rare. Sa symptomatologie est polymorphe. Le traitement de référence est la néphrectomie totale élargie. Les facteurs pronostiques les plus déterminants sont le stade (TNM) et le grade histologique de Fuhrman. Selon notre série, la néphrectomie élargie permet un taux de survie sans récidive supérieur à 85%, tous stades et types histologiques confondus. 269 LE CANCER DU REIN CHEZ L'ADULTE ral. Les paramètres étudiés ont été: l'âge, la symptomatologie clinique, le bilan radiologique, le type d'intervention, les résultats anatomopathologiques et le stade histologique TNM suivant la classification de 1997 6 qui a été utilisée, parce que la plupart des patients on é...
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