Background: The aim of this study was to quantify the effect of obesity on early results after coronary artery bypass grafting (CABG). Methods: A retrospective cohort study of patients underwent isolated CABG from January 2000 through December 2012 was conducted. 586 patients were classified into two groups: Obese (n = 100) BMI ≥ 30 kg/m 2 and non-obese (n = 486) BMI ≤ 30kg/m 2 . Results: The obese patients included more women (p < 0.01), hypertensives (p = 0.01) and dyslipidemics (p = 0001). The CPB, aortic champ times and number of bypass graft were similar between the groups (p = 0.35, p = 0.51 and p = 0.59 respectively). Also the composite of in-hospital mortality and postoperative complication didn't differ between the groups. The incidence of perioperative myocardial infarction, and need for inotropic drugs or IABP were significantly less in obese patients (p = 0.028, p = 0.031 and p < 0.01 respectively). Conclusions: The current study showed that obesity is not a risk factor of adverse events after CABG and continuous to give another aspect of the "obesity paradox".

Although the majority of patients with perimembranous ventricular septal defect and septal aneurysm remained asymptomatic, some of them presented with serious complications during adulthood and thus required high risky surgery. In accordance with other rare condition, the incidence and natural history have not been well documented. This case describes the occurrence of a septic pulmonary emboli associated with right ventricular outflow tract obstruction in a young child.

Pericardial hydatic cyst is rare even in endemic countries. We report a case of 69-year-old man with isolated pericardial hydatid cyst that presented an overall heart failure. Tran thoracic echocardiography and computed tomography are revealed the pericardial cystic mass. Surgical cystectomy was realized without cardiopulmonary bypass. In post-operative the patient received albendazole. He remained asymptomatic without recurrence during 18 months follow-up period.

Le diaphragme sous aortique se caractérise par une certaine latence clinique et une faible morbi-mortalité. La chirurgie reste le traitement de choix malgré un réel risque de récurrence à long terme. Nous rapportons 18 patients opérés entre Avril 1994 et Mars 2011 pour diaphragme sous aortique d’âge moyen de 18,1±9,7 ans avec 11 patients de sexe masculin. Le diaphragme était de nature fibreuse chez 13 patients et fibro-musculaire chez 5 patients. Tous les patients ont été opérés par résection de diaphragme associée à une myectomie, une plastie aortique, une fermeture de communication interventriculaire et une ligature de canal artériel perméable respectivement chez 3, 3, 2 et 2 patients. La Mortalité opératoire était nulle et sans aucun cas de trouble de conduction postopératoire. Le suivi a duré en moyenne 44,3±36,8 mois sans aucun décès tardif. Deux patients ont présenté une récidive de diaphragme qui a nécessité une réopération avec bonne évolution. La tendance actuelle dans la chirurgie du diaphragme se fait vers des interventions précoces et des résections plus extensives. Cependant, le risque de récidive impose une surveillance échographique systématique et rapprochée.

L'association d'une communication interventriculaire post infarctus du myocarde et d'un anévrysme du ventricule gauche chez un même patient est extrêmement rare et survient habituellement durant la première semaine qui suit un infarctus du myocarde. Nous rapportons le cas insolite d'un patient âgé de 63 ans, admis pour choc cardiogénique en rapport avec une communication inter ventriculaire apicale et un anévrysme ventriculaire gauche causés par un infarctus du myocarde antérieur. La correction chirurgicale a consisté en une fermeture du défect septal par un patch en dacron via une ventriculotomie gauche associée à une anévrysectomie et un mono pontage coronaire. Cette observation illustre d'une part la rareté de l'association communication inter ventriculaire-anévrysme ventriculaire gauche post infarctus du myocarde, et d'autre part l'efficacité du traitement chirurgical qui reste la seule option salvatrice pour cette pathologie.