The aim of this research was to study different types of absenteeism in vocational secondary school taking into account the specificity of the school context. Participants were 523 students. First, three school absenteeism groups were established: Students with no absenteeism (nearly 64% of the sample), students with absenteeism (26%), and students with problematic absenteeism (10%). These groups were then compared according to four dimensions directly linked to the school context in order to identify the characteristics most associated with each type of absenteeism. Dimensions considered in this study were: 1) students’ characteristics and their status in vocational secondary school; 2) personal variables of school involvement; 3) relational variables (with parents, teachers, and school climate); and 4) belief variable in school system (belief in school justice). Multinomial logistic regression analyses showed that beyond the impact of the personal variables, the organization of the educational system seems to be a major predictor in the explanation of various forms of absenteeism. Implications from the research for psychological providers practice were suggested in order to encourage school attendance by vocational secondary school students.

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Résumé Cet article propose d’explorer les représentations sociales associées à la ville idéale et de repérer l’existence d’un prototype de ville idéale susceptible d’exprimer un processus de « désirabilité environnementale ». À partir d’un échantillon de 121 urbains tout venant, il apparaît que la représentation de la ville idéale s’organise autour des items espaces verts, échanges, culture et animation. Bien que l’on observe des variations en fonction de l’âge et du sexe, la désirabilité environnementale se construit globalement à partir d’un élément central : « espaces verts ». Cette représentation sociale de la ville idéale organisée autour d’une référence centrale à la nature constitue, selon nous, un révélateur d’une idéologie plus globale visant à redéfinir les relations de l’homme à son environnement.

Résumé Entre « traditions » et « tendances », que pensent aujourd’hui les jeunes adultes de la boisson emblématique du savoir-vivre français : le vin ? C’est par l’étude des représentations sociales du vin, notamment en fonction de la région d’origine (viticole ou non viticole), de la position par rapport au vin (amateurs ou experts) et des pratiques de consommation des jeunes adultes (155 jeunes de 18 à 30 ans), que nous avons choisi de répondre à ces questions. Les résultats permettent de montrer l’existence d’une véritable représentation sociale du vin consensuelle, structurée et valorisée, associée aux plaisirs de la table, à la convivialité et au désir de transmettre. Les habitudes de consommation, elles, restent occasionnelles et ont lieu majoritairement lors de repas familiaux festifs. Enfin, plus les jeunes consomment du vin et plus leurs représentations sociales sont valorisées, probablement dans un souci de rationalisation des conduites. Si le vin reste aujourd’hui une boisson empreinte de jovialité, elle n’en est pas moins, dans les faits, délaissée par les jeunes générations.

Résumé L’objectif de cette recherche était d’étudier les attitudes des sportifs hétérosexuels envers les gays, les lesbiennes et les sportifs homosexuels, notamment en fonction du genre et du type de sport (sports collectifs vs sports individuels). Notre population comprenait 322 personnes dont 242 sportifs. Les attitudes ont été mesurées à l’aide du questionnaire ATLG-S (Herek, 1994; Mette, Décamps & Lecigne, 2011). Les sportifs sont apparus significativement plus discriminants envers les gays que les non-sportifs. Les hommes présentaient des attitudes significativement plus négatives que les femmes envers les gays, les lesbiennes et les sportifs homosexuels. Concernant le type de sport, seules les femmes évoluant en sport collectif ont déclaré des attitudes significativement plus négatives envers les gays.