In contrast to adults with CML, additional chromosomal abnormalities observed at diagnosis do not seem to have a significant prognostic impact. Cancer 2017;123:3609-16. © 2017 American Cancer Society.

Bouttefroy, Nicolas André, and Virginie Gandemer participated in the study and data collection, and read and approved the manuscript as submitted.

No abstract

Les spécificités du modèle agroforestier néo-zélandais • Un climat extrêmement favorable à la croissance des végétaux Dans certaines régions de l'Île du Nord, les arbres croissent douze mois sur douze. La pluviométrie est rarement inférieure à 100 mm/mois, tous les mois de l'année ! La nébulosité peut être forte, mais le rayonnement est plus intense que dans l'hémisphère Nord, à latitude égale (pureté de l'atmosphère liée à l'isolation dans l'océan). • Le Pin radiata a des performances exceptionnelles Pinus radiata D. Don est originaire de Californie, où son aire est très limitée à la baie de Monterey et à quelques îles du littoral. Il a trouvé en Nouvelle-Zélande sa terre de prédilection et écrase de ses performances toutes les autres espèces d'arbres indigènes ou exotiques. Les (") La première partie de cet article a été publiée dans le n° 6/1992 de la Revue forestière française, pp. 523-538. 43 Rev. For. Fr. XLV-1-1993 J.-L. GUITTON-C. DUPRAZ-F .-X. DE MONTARD-H. RAPEY forestiers n'ont pas d'explication rationnelle de ces performances. Seuls, certains Eucalyptus en zone tropicale peuvent rivaliser avec les 50 à 60 m 3 /ha/an parfois observés. Le Douglas, théoriquement bien adapté, produit à peine le tiers du Pin radiata. Sa productivité moyenne s'établit ainsi à 25 m 3 /ha/an ; un jeune plant fait couramment des pousses annuelles de 1,5 m, ce qui permet de s'affranchir de travaux de protection contre le bétail. De ce fait, la recherche forestière néo-zélandaise s'est focalisée sur cet arbre, pour améliorer encore ces performances. 98 % des plantations néo-zélandaises (1,2 million d'hectares souvent en blocs contigus de plusieurs dizaines de milliers d'hectares) sont en Pin radiata, ce qui n'est pas sans soucier les services de surveillance phytosanitaire extrêmement vigilants dans les ports et aéroports ! • Les plantations de Pin radiata concourent à l'équilibre biologique Ce paradoxe apparent s'explique par l'interdiction absolue, à partir de 1990, de couper des arbres des rares forêts indigènes qui ont survécu à la fureur des déboisements du début du siècle. La culture intensive de radiata, en garantissant l'approvisionnement national en bois. permet la sauvegarde des forêts naturelles. De plus, I'agroforesterie à base de radiata contribue à la fixation des sols, problème écologique crucial dans certains cantons de l'est de l'île du Nord (Gisborne, Hawkes Bay) où on estime que 100 % du territoire a été affecté par des glissements de terrain en cinq ans.