We performed respirometry experiments to estimate the spontaneous swimming costs of brook trout (Salvelinus fontinalis) for 24 combinations of fish weight (3.5, 17, and 32 g), water temperature (4, 12, and 18°C), and respirometer size (27, 54, and 108 L). Fish swimming characteristics were estimated for each experiment using videocamera recordings and image analysis. Under our experimental conditions, average swimming characteristics of fish, such as swimming speed and turning and acceleration rates, varied from 2.5-to 29-fold. Our data, alone or combined with similar published results on brook trout weighing 1 g, indicated that fish weight was the only variable that could explain a statistically significant proportion of the variations of spontaneous swimming costs for that species (r 2 = 0.91). Our work confirms, with a wider range of experimental data, that spontaneous swimming costs of fish are 3-to 22-fold (8-fold average difference) more energy demanding than predicted by forced swimming models developed using fish swimming at constant speeds and directions in flumes.Résumé : Nous avons réalisé des expériences respirométriques visant à estimer les coûts de la nage spontanée de l'omble de fontaine (Salvelinus fontinalis) pour 24 combinaisons de masse des poissons (3,5, 17 et 32 g), de température de l'eau (4, 12 et 18°C) et de taille de respiromètres (27, 54 et 108 L). Les caractéristiques de nage des poissons ont été estimées, pour chaque expérience, à l'aide d'enregistrements par vidéocaméras et d'analyses d'images. Sous nos conditions expérimentales, les caractéristiques de nage moyennes dont la vitesse de nage, les taux de virage et d'accélération ont varié par un facteur de 2,5 à 29. Nos données, seules ou combinées avec des résultats similaires publiés pour des ombles de fontaine de 1 g, ont indiqué que la masse des poissons est la seule variable qui peut expliquer une proportion statistiquement significative des coûts de la nage spontanée pour cette espèce (r 2 = 0,91). Nos travaux confirment, avec une gamme plus étendue de données expérimentales, que les coûts de la nage spontanée des poissons sont 3 à 22 fois (8 fois en moyenne) plus élevés que ceux prédits par les modèles de la nage forcée développés avec des poissons nageant à des vitesses et dans des directions constantes.