As global land surface temperature continues to rise and heat wave events increase in frequency, duration and/or intensity, our key food and fuel cropping systems will likely face increased heat-related stress. A large volume of literature exists on exploring measured and modelled impacts of rising temperature on crop photosynthesis, from enzymatic responses within the leaf up to larger ecosystem scale responses that reflect seasonal and inter-annual crop responses to heat. This review discusses (i) how crop photosynthesis changes with temperature at the enzymatic scale within the leaf, (ii) how stomata and plant transport systems are affected by temperature, (iii) what features make a plant susceptible or tolerant to elevated temperature and heat stress, and (iv) how these temperature and heat effects compound at the ecosystem scale to affect crop yields. Throughout the review, we identify current advancements and future research trajectories that are needed to make our cropping systems more resilient to rising temperature and heat stress, which are both projected to occur due to current global fossil fuel emissions.
RÉSUMÉ
En plus de faire évoluer dans le temps de façon classique les populations de départ entre l’année t et t + 1, le modèle présente deux (2) caractéristiques importantes qui lui donnent son originalité et son intérêt.
1) Le modèle suit annuellement et simultanément par sexe et année d’âge, les populations de langue française, anglaise et autres de la région métropolitaine de Montreal, tant de langue maternelle (première langue apprise et encore comprise) que de langue d’usage (langue la plus souvent utilisée à la maison). L’interdépendance de l’évolution de ces six (6) populations oblige à les suivre simultanément.
La croissance des populations selon la langue d’usage dépend de l’évolution de la croissance des populations selon la langue maternelle et de la tendance des transferts linguistiques (perte de la langue maternelle comme langue d’usage). Il faut donc, pour suivre dans le temps les populations selon la langue d’usage, suivre l’évolution des populations selon la langue maternelle. Or, ces dernières populations évoluent elles-mêmes en fonction de la croissance des populations selon la langue d’usage. En effet, les naissances, allant grossir par exemple les effectifs de la population de langue maternelle anglaise, sont le fait non seulement de mères de langue maternelle et d’usage anglaise, mais aussi de femmes de langue maternelle française ou autre et qui se sont anglicisées au point d’être devenues de langue d’usage anglaise. Par la natalité, les populations selon la langue maternelle sont donc, à leur tour, dépendantes de la croissance des populations selon la langue d’usage.
2) Le modèle permet de plus d’intégrer séparément les entrées et les sorties selon la langue maternelle, tant intraprovinciales qu’interprovinciales et internationales. Deux (2) raisons nous ont obligés à décomposer les migrations en ces différents niveaux. La première découle du fait que les migrants présentent des caractéristiques linguistiques bien différentes selon qu’ils viennent du reste du territoire québécois, des autres provinces canadiennes ou de l’étranger, ou au contraire, selon qu’ils partent de Montréal vers ces régions. La deuxième rejoint les préoccupations spécifiques du ministère de l’Immigration : pouvoir extraire l’effet d’une variation du volume ou de la composition des entrées internationales sur la population montréalaise.
En somme, l’intérêt du modèle, c’est son extrême souplesse. Il permet par le jeu de plusieurs simulations de mesurer les effets d’un changement d’un des facteurs de la croissance (mortalité, fécondité, mobilité géographique et mobilité linguistique) des ou d’une seule des populations linguistiques sur le volume, la structure par âge et la composition linguistique future de la population montréalaise.
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