Il est largement admis que le commerce favorise la croissance économique et réduit la pauvreté dans les régions développées et en voie de développement du monde, y compris en Afrique. Le commerce est censé servir de relais par lequel les pays participants utilisent les avantages comparatifs de leurs ressources et capacités de production pour tirer parti de leurs atouts. Bien que le commerce entre pays puisse générer de la croissance à l’échelle mondiale, il arrive souvent que les avantages globaux ne soient pas répartis équitablement entre les partenaires commerciaux. Cela est évident dans le cas du continent africain, qui dépend entièrement de l’exportation de matières premières non transformées et de ressources minérales vers les pays développés et émergents d’Asie qui alimentent leur croissance économique. Cet article examinera, en termes généraux, les relations économiques et commerciales qui existent actuellement entre l’UE et l’Afrique. La position commerciale de l’Afrique est foncièrement fragile, caractérisée par une dépendance à l’égard des matières premières pour les exportations (avec une chute des prix sur les marchés internationaux) et un effondrement du secteur manufacturier qui nécessite l’importation de biens de consommation essentiels. L’Afrique a signé l’Accord de partenariat économique (APE) intérimaire sur les biens matériels avec l’Union européenne (UE) négociés dans le cadre de diverses RECs : par exemple, les blocs Afrique orientale et australe (ESA), CEDEAO, et CDAA. Les APE sont censés faciliter la mise en œuvre du libre-échange dans la mesure où l’UE offrira à l’Afrique un accès non assujetti aux droits de douane et aux quotas aux marchés de l’UE et lui concédera également son marché aux exportations européennes (réciprocité). Ainsi, les accords de partenariat économique constituent une menace pour la stratégie d’industrialisation des pays africains. La sortie britannique (BREXIT) de l’Union européenne a surpris les partisans de l’intégration régionale et du libre-échange. Les pays africains restent incertains quant aux impacts probables du BREXIT tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du contexte des APE de l’UE. Le Brexit va sans aucun doute réduire l’accès au marché et l’aide au développement des pays en développement signataire de l’APE.
Culture has been analysed in information systems (IS) projects as one of the soft issues that cause project failure. Increased outsourcing and collaboration call for an understanding of the dynamism of cultures in the wake of global influences as a first step towards managing cross cultural Information Technology (IT) projects. In this study, the authors propose a way of assessing cultural dynamics in the context of trans-national collaboration in IT projects. Using a mixed methods approach consisting of survey and semi-structured interviews for collecting evidence in Zimbabwe, a framework for assessing the current state of communalist culture is proposed. The study showed that in spite of the inroads of Westernization and Commercialization, a culture of sharing prevails although it is affected by sensitivity to cost burden and inroads of individualism.
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