Mes premiers remerciements s'adressent à deux personnes qui ne soupçonnaient pas qu'en répondant à mon (trop) précoce « Maman, Papa, c'est quoi la société? », elles ouvriraient la porte à une infinie quête du savoir dans le champ des sciences sociales. Donc, merci à mes parents, sans qui'je n'aurais sans doute pas développé cette curiosité, cette exubérance intellectuelle et ce désir de la performance (pour le meilleure et pour le pire). Comment, ensuite, ne pas remercier ma directrice, Marielle Tremblay, et mon codirecteur, Pierre-André Tremblay? Vous m'avez laissée assez de liberté pour produire un mémoire qui me ressemble et dont je suis fière. Par ailleurs, je vous suis reconnaissante d'avoir tempéré mes ardeurs, rassuré mes craintes, orienté mes errances et d'avoir cru en mon projet. En plus de vos scientifiques conseils, j'ai pu tirer profit du plaisir de longues discussions. Merci également pour les nombreuses relectures et les conseils de dernière minute. À l'Union communiste libertaire, mes plus solidaires remerciements : cette recherche n'aurait pu voir le jour sans la confiance que vous m'avez accordée et sans l'intérêt des militants et militantes qui ont accepté d'y participer. Merci aussi d'être là, et de défendre avec fougue la possibilité d'un monde-radicalement différent. Enfin, je ne saurais passer sous silence la contribution cruciale de toutes mes collègues et amies du H5-1340 : Caroline Jean, Josie-Ann Bonneau et Mylène Geoffroy, avec qui j'ai partagé tellement, tellement plus que des idées. Un « merci » en lettres majuscules à Stéphane Turcotte et à Geneviève Larouche pour m'avoir orientée vers cet objet de recherche et pour toutes les discussions informelles sur le sujet. À Mathieu Bisson pour les échanges académiques, sérieux et pas sérieux. Enfin, à David, qui a vécu avec moi les hauts, mais surtout les bas de mon mémoire : merci pour la présence, le support et les lunches.