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SUMMARY There are no firm figures for the prevalence of cerebral palsy in adults, but an approximate figure is 0.5 per 1,000 in the general population. About 25 per cent of these adults with cerebral palsy are in open employment, but there are wide variations in the published figures, implying that different degrees of handicap are included in the different samples, and/or that there are considerable variations in the facilities and conditions of employment in different areas. Monoplegics and hemiplegics are the types most frequently employed, followed by paraplegics. Quadriplegics and athetoids have the poorest chance of employment at present. When cerebral palsy is associated with low intelligence or other handicaps these constitute a further ban to employment. There is little published evidence so far on the results of vocational guidance and training in this country. The American and Danish surveys indicate a large wastage in training (at least 50 per cent). This may now be unavoidable but suggests that new methods should be inquired into. There is clearly a need for increased facilities for training and vocational advice. Since about 70 per cent of adults with cerebral palsy are not in open employment, the following steps are suggested: A more careful analysis of available data on the present placement and conditions of cerebral palsied adults, particularly those living at home and presumably unoccupied. A study of the methods and results of existing services and centres. A study of job analysis and job placement now. More counselling or preparation of cerebral palsied schoolchildren and their parents, with special attention to the severely handicapped who are unlikely to obtain open employment. RÉSUMÉ Revue des études sur les encéphalopathes au‐dessus de l'áge scolaire. II ne'existe pas de données certaines sur la fréquence de l'encéphalopathie chez les adultes, bien qu'on puisse admettre le taux de 0.5 per cent comme chiffre approximatif. Il y a probablement 1–2 per cent d'enfants encephalopathes d'âge scolaire. Environ 10 per cent de ces enfants, déficients mentaux, sont placés en institutions. La plupart des études sur les spastiques exerçant des emplois libres font penser que 25 per cent environ sont dans cette situation; cependant ce chiffre varie sensiblement soit que des degrés de diminution essentiellement differentes sont compris dans les échantillons, soit qu'il existe, dans les différentes régions, des variations considérables dans l'accès et les conditions d'emploi. II paraît évident que les monoplégiques et les hémiplégiques sont le plus fréquemment employés, les paraplégiques venant ensuite. Les quadriplégiques et les athétoîdes ont les chances d'emploi les plus limitées. Une faible intelligence et d'autres handicaps associés a l'encéphalopathie viennent en'core restreindre l'emploi de ces sujets. II existe pour le moment dans notre pays peu de données sur les résultats de l'orientation et de la formation professionnelles. L'étude de Hansen sur les études américaines et danoises indique ...

SUMMARY A survey of the intelligence and educational attainments of two groups of school children with meningomyelocoele and the examination of the records of 800 patients in a hospital catering mainly for mentally handicapped children confirmed earlier reports that the majority of children of school age with this condition who have survived up to the present, have been educable in terms of I.Q. and have responded to education. Children with meningomyelocoele and associated hydrocephalus tend on average to be of lower intelligence than children without hydrocephalus. Fourteen young persons with meningomyelocoele had left the two schools studied, five were in open employment. Réasuméa Intelligence et progrès scolaires de grands enfants atteints de meningomyélocèle Une enquête sur l'intelligence et les progrès de deux groupes d'écoliers atteints d'un méningomyélocèle et un examen des rapports de 800 patients d'un hopital spécialisé pour les enfants mentallement handicappés a confirmé les rapports antérieurs selon lesquels la majorité des enfants d'âge scolaire dans cet état qui ont survécu jusqu'à présent ont étééducables en termes de coefficient d'intelligence et ont répondu à l'éducation. Les enfants avec méningomyélocèle et hydrocéphalie associée ont tendance en moyenne àêtre moins intelligents que les enfants sans hydrocéphalie. Quatorze jeunes atteints de meningomyélocèle avaient quitté les deux écoles étudiées, cinq avaient un emploi libre. Finalement, on doit faire remarquer que l'utilité de cette enquête est limitée parce qu'elle est basée sur des enfants qui ont survécu jusque là et non sur des enfants en vie maintenant; de plus, cette enquête concerne seulement l'intelligence et l'éducabilité, tandis que l'incapacité physique, soit de locomotion soit de continence d'urine, ou les deux, peut dominer le tableau clinique et décider du genre de vie de l'enfant. Par conséquent, il faudrait une étude prospective à grande échelle sur les enfants vivant maintenant, de façon à pouvoir organiser convenablement leur direction, éducation et placement dans la vie adulte, en utilisant l'expérience acquise. Zusammenfassung Intelligenzquotiente und Schulkentnisse von grösseren Kindern mit Meningomyelocele Ein Überblick der Intelligenz und Schulkentnisse zweier Gruppen Schulkinder mit Meningomyelocele, und die Überprüfung Akte von 800 Patienten in einem Spital, das hauptsächlich für geistig zurückgebliebene Kinder sorgt, bestätigten frühere Berichte, dass nämlich die Merhzahl solcher Schulkinder die bisher überlebt haben unterrichtbar sind hinsichtlich des Intelligenzquotient, und auf Unterricht reagiert haben. Im Durchschnitt neigen Kinder mit Meningomyelocele und damit verbundenem Hydrocephalus zu niedrigerer Intelligenz als Kinder ohne Hydrocephalus. Vierzehn junge Leute mit Meningomyelocele, die die zwei Schulen verlassen hatten, studierten, und fünf arbeiteten in normalen Stellungen. Abschliessend soll machdrücklich betont werden, dass dieser Überblick von begrenzter Nützlichkeit ist, weil er auf Kinder, die bis jetz...

SUMMARY A questionnaire was sent to 277 members of the British Paediatric Association asking whether they use developmental tests, which tests they use, and what they use them for. 192 replies were received, of which 132 said that developmental tests are used. Most (74) said they use a selection of test items, and the Griffiths and Gesell are the two main published tests used. The principal use of tests is on babies thought to be backward, followed by those with special handicaps and those offered for adoption. Follow‐up studies were very few. The dangers of testing babies with a few items from a scale are discussed, as are the different implications of the tests for backward, handicapped, and adoptive babies. Some suggestions are made as to possible lines of future research. RÉSUMÉ Les pédiatres et les tests du développement Un questionnaire a été envoyéà 277 membres de la ‘British Paediatric Association’ demandant s'ils employaient des tests du développement, lesquels ils employaient, et dans quel but. Parmi les 192 réponses reçues 132 disaient employer des tests du developpement. La plupart (74) indiquaient qu'ils employaient une sélection de tests, et les tests de Griffiths (40) et de Gesell (34) sont les deux principaux tests publiés utilisés. L'emploi principal des tests est chez les bébés présumés retardés, viennent ensuite ceux présentant quelques infirmités et ceux offerts pour adoption. Très peu d'entre eux étaient suivis. L'auteur discute des dangers qu'il y a à tester les bébés au moyen de quelques tests seulement pris dans une série, de même que les différences dans les implications des tests pour les bébés retardés, infirmes et adoptés. Quelques suggestions de recherches possibles sont présentées pour l'avenir.

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