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Summary A tommy territory (about 8000 m2) was mapped in the Serengeti National Park (Tanzania). The techniques and principle guidelines for mapping the marking system are described. Several animal trails crossed the territory, but were not established by its owner. The male had several preferred bedding sites in the centre and in the boundary region of the territory. Eighteen dung piles and 110 preorbital gland secretion marks were recorded. One dung pile was in the centre, the others occurred along the boundary, most abundantly in sections of frequent agonistic encounters. The secretion marks generally followed the same pattern as the dung piles, but they formed a broader belt along the boundary, leaving a central area unmarked. Factors which may influence the position of dung piles and secretion marks are discussed. Landmarks can be incorporated in the establishment of the centre and boundary of a territory, but its basic structure is subjectively determined by the territorial in dividual. The marking system does not seem to be a means of ‘territorial defence’ in this species, but appears to be important primarily for the owner's orientation. Résumé Un territoire de Gazelle de Thomson, d'environ 8000 m2, fut cartographié dans le Parc National du Serengeti en Tanzanie. Les techniques et principes conducteurs pour la cartographié du système de marquage sont décrits. Plusieurs pistes d'animaux traversent le territoire, mais ne furent pas tracées par le possesseur de celui‐ci. Le mâle a plusieurs sites de repos préférentiels au centre et dam la zone limitrophe du territoire. Dix‐huit points de défécation et 110 marquages de sécrétion de la glande pré‐orbitale furent enregistrés. Un point de défécation est au centre, les autres se trouvent le long de la limite, plus abondants dans les zones où se produisent des rencontres antagonistes fréquentes. Les marquages de sécrétion suivent généralement le même répartition que les points de défécation, mais elles forment une bande plus large le long de la limite, laissant une surface centrale non marquée. Les facteurs qui pour‐raient influencer la position des points de défécation et les marquages de sécrétion sont discutés. Des points de repère peuvent être incorporés dans l‘éstablissement du centre et de la limite du territoire, mais leur structure de base est déterminée sub‐jectivement par l'individu territorial. Le systéme de marquage ne semble pas être un moyen de “défense territoriale” chez cette espèce, mais parait être fondamentalement important pour l'orientation du possesseur de ce territoire.

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