In an analysis of data from the CESAME cohort in France, patients with anal and/or perianal Crohn's disease have a high risk of anal cancer, including perianal fistula-related cancer, and a high risk of rectal cancer.

In several species, bicarbonate and calcium concentrations of pancreatic juice are known to vary during the different phases of pancreatic secretion. The effects of these variations on the saturation of juice with calcium carbonate, a critical factor for the formation of pancreatic stones, are not known. In this work, we studied the saturation degree of pancreatic juice with calcium carbonate in six unanesthetized beagle dogs equipped with Thomas cannulae during basal secretion and after bolus injections of cerulein (30 ng/kg) or secretin (0.25 units/kg). In the different samples of pure pancreatic juice, pH, PCO2, bicarbonate, and proteins were measured by standard methods. Total calcium (CaT) and ionized calcium (Ca2+) were determined using calcium-specific electrodes. Saturation with calcium carbonate was calculated by reference to the solubility product of calcite at 37 degrees C. Almost all the samples were found to be supersaturated with calcium carbonate but large variations of the saturation index were observed. In basal samples, obtained during periods of low secretion rate, the mean saturation index (3.35 +/- 3.01) was significantly lower than under secretion (12.10 +/- 5.14) or cerulein (18.01 +/- 8.42). This low basal saturation index, in spite of a high Ca2+ content, was explained by a low bicarbonate concentration (37.6 +/- 18.9 mmol/liter) and a high PCO2 (13.4 +/- 7.5 kPa). In contrast, in juice obtained after hormonal stimulation, PCO2 (4.8 +/- 1.6 kPa) was similar to plasma PCO2 (5.5 +/- 1.2 kPa).(ABSTRACT TRUNCATED AT 250 WORDS)

No abstract

No abstract

Baltazard, Bahmanyar et Mofidi (1950) ont montre que les deux variétés de YOrnithodorus erraticus ont une spécificité élevée pour le spirochète qu'elles transmettent. La grande variété est toujours trouvée infectée dans la nature par Borrelia hispanica, et la petite variété par une Borrelia du groupe crocidura:, microti, merionesi. L'expérimentation montre en outre que chacune des deux variétés d'Ornithodores est inapte à conserver le spirochète transmis par l'autre: Ces constatations ont été vérifiées à maintes reprises au Maroc, et nous avons donc été très surpris par l'observation suivante : un lot d'O. erraticus, récolté dans un terrier de Meriones shawi à Bab er Rhob (Marrakech) le 7 septembre 1949, dont les adultes apparte naient manifestement à la petite variété (déjà trouvée fréquemment dans cette région), ont été nourris sur un cobaye adulte et ont trans mis à cet animal une maladie sévère. Or, on sait qu'un pouvoir pathogène élevé pour le cobaye adulte est précisément le caractère le plus sûr pour caractériser B. hispanica et le séparer des spirochè tes de rongeur. Cette observation, qui paraissait mettre en défaut les conclusions de l'Institut Pasteur de l'Iran, s'est révélée, par la suite, en parfait accord avec celles-ci, et elle nous paraît même y apporter une confir mation précise dans des conditions naturelles. C'est pourquoi nous pensons qu'il est utile d'en préciser le détail. Le tableau ci-joint indique la succession des repas, pris sur cobaye, par ces Ornithodores ou par leur descendance. Le lot A, comprenant la totalité de la récolte, a été scindé en deux lots B et C le 3 décembre 1949. C examiné le 29 juillet 1950 s'est révélé être composé exclusivement d'adultes de petite taille. B examiné le 4 mai 1950 a montré une jeune femelle non gorgée, paraissant de