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Core-shaped forms are one of the most distinctive kinds of artefacts identified in Aurignacian assemblages.Classification of such pieces frequently causes difficulties, and the boundaries between certain types seem to be fluid and intuitive. The question whether to categorise those artefacts as tools or as cores is another unresolved issue. This leads to conflicting interpretations of morphologically and technologically identical lithics. The present paper investigates these topics, using the assemblage of core-shaped forms from the group of sites in Spadzista Street in Kraków as an example. The authors propose a standardised examination method, without dividing the artefacts into typological categories, tools or cores. Such an approach, combined with microwear analysis of the materials, confirms the hypothesis that the forms may have been used both as tools and as cores, and that their use was not always the same, but depended on the specific needs of their users/makers.

Résumé Dans le cadre d'un programme d'étude sur le débitage lamellaire aurignacien, une expérimentation de taille exécutée par Jacques Tixiera été entreprise afin de comprendre l'origine de la torsion des lamelles aurignaciennes, en particulier celles rencontrées au Flageolet I. Deux hypothèses ont été testées : la localisation de l'enlèvement lamellaire sur le front et le décalage du bulbe par rapport à l'axe longitudinal de la lamelle.

Je tiens à remercier ici Jean-Philippe Rigaud qui m'a confié ce travail et encadré dans son accomplissement, Maureen A. Hays dont la collaboration est toujours d'un grand intérêt scientifique, Laurent Klaric qui a eu la gentillesse de relire cet article et de me faire parvenir ses travaux encore non-publiés, Pierre Bodu et Michel Lenoir qui ont également pris le temps de relire ce travail et de me transmettre leurs remarques et tous les fouilleurs du Flageolet I sans qui aucune étude n'aurait été possible.À propos des burins du Raysse du Flageolet i (Dordogne, France

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