Hexagonal, isotype de la mixite a = 13,55 ± 0,05 Å, c = 5,87 ± 0,02 Å, Z = 2. Principales raies du diagramme de poudre (68 raies observées, 36 indicées) : 11,73 (10), 2,938 (8), 2,451 (8), 4,43 (7), 3,54 (7), 2,692 (6), 2,558 (6). Cristaux aciculaires très fins vert-bleu. d[mes.] = 3,72 ± 0,05, d[x] = 3,66 ± 0,04. Uniaxe positif. n₀ = 1,701 ± 0,005, n[e] = 1,782 ± 0,005. Les seuls constituants sont : As, Cu, Y, accompagnés d'autres terres rares en faible proportion, H₂O et Ca ; à noter l'absence complète de Bi. L'analyse chimique, sur 200 mg environ, conduit à la formule : (Y,CaH) Cu₆ [(AsO₄)₃/(OH)₆] . 3H₂O. L'eau est en partie zéolotique et la structure n'est pas détruite par chauffage à 250° C ; la courbe d'analyse thermique différentielle montre trois crochets endothermiques et deux crochets exothermiques. A été trouvée dans la zone oxydée du filon cuprifère de Bou-Skour encaissé dans le Précambrien du Jbel Sarhro (Maroc), associée à : azurite, malachite, cuprite, cuivre natif, quartz et divers autres minéraux non encore déterminés. Le nom d'agardite, proposé en hommage à J. Agard, ancien chef du Service d'Études des gîtes minéraux de la Division de la géologie du Maroc, est destiné à désigner tous les minéraux isotypes de la mixite dans lesquels Bi est remplacé en totalité ou en majeure partie par Y et, d'une façon plus générale, par un élément quelconque des terres rares.
L'étude des parures en matière minérale a porté sur un matériel très abondant : près de 35 000 objets recensés pour plus de 200 sites du Sud de la France. Malgré une grande variété des matières premières (une quarantaine) on constate une nette prééminence de l'emploi du talc, puis du calcaire et de la calcite. Tous les autres matériaux sont représentés de manière plus sporadique. Certaines roches présentes dans plusieurs régions ont été employées de façon préférentielle dans l'une ou l'autre, ainsi la fluorite en Languedoc et la bauxite dans le Var et la région de Grasse. Des minéraux comme le talc ont pu circuler à plus ou moins longue distance depuis les Pyrénées et peut-être les Alpes. D'autres comme la turquoise et la variscite ont une provenance lointaine. Ce dernier matériau est le seul dont on ait des témoins directs d'exploitation à grande échelle au Néolithique, avec les mines de Gava (Barcelone). Il semble que la variscite ait largement diffusé. Le choix des matières premières peut varier d'une région à l'autre et n'est pas uniquement lié aux propriétés physiques des roches et minéraux ou à la proximité des gisements géologiques.
Diverses couches picturales de peintures murales romaines ont été étudiées. Couleur, épaisseur, dureté et rugosité ont été mesurées. On a déterminé à la microsonde de Castaing et par diffractométrie X les compositions moyennes et superficielles des couches picturales et des intonaco.L 'étude des coupes a mis en évidence des zones de ségrégations aux anciennes interfaces. Grosso modo, les matériaux utilisés sont conformes aux spécifications de Vitruve.mais avec quelques originalités : emploi d'hématite pure, et non d'ocre rouge ; ajout systématique d'argiles lorsque le pigment n'est pas argileux. La forme de certaines rugosités et la mise en évidence d'une texturation de la couche picturale semblent prouver la pratique d'un polissage non abrasif.
Die DIN 18130‐1, Ausgabe 1998, stellt die augenblicklich verbindliche Norm zur Bestimmung des Wasserdurchlässigkeitsbeiwertes von Böden (Lokkergestein) dar. Ein neuer und wesentlicher Punkt ist die Wertung verschiedener Arten der Versuchsdurchführung und die damit verbundene Einteilung in Versuchsklassen. Die höchste Anforderung beinhaltet die nachzuweisende Wassersättigung der Probe und die stationäre Durchströmung mit entlüftetem Wasser. Die geringste Anforderung sieht weder eine Wassersättigung, noch stationäre Durchströmungsverhältnisse vor. Den Hintergrund für diese detaillierte Neuerung bildet die Kenntnis, daß der Grad der Wassersättigung der Probe und die Entlüftung des Durchflußmediums bei Böden einen Einfluß auf die Durchlässigkeit haben. Die Regelungen der DIN 18130 sind gemäß den GDA‐Empfehlungen auch zur Prüfung von Einphasen‐Dichtwandmassen (DWM) anzuwenden. Es existieren jedoch erhebliche Strukturunterschiede zwischen Böden und DWM, die sich insbesondere in unterschiedlichen Porenzahlen und dem natürlich anstehenden Wassersättigungsgrad der Struktur manifestieren. Im Zuge der Untersuchungen galt es daher zu klären, inwieweit auch bei DWM ein Einfluß der Versuchsklassen auf die Durchlässigkeit existiert.
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