Faisant une revue des protozoaires qu'il est possible de rencontrer dans les hématies ou le système réticulé des oiseaux l'auteur étudie successivement: Les Plasmodium, les Haemoproteus, les Leucocytozoon, les Toxoplasma et Aegyptianella ainsi que les parasites apparentés, enfin les Lankesterella. Certains parasites sont décrits avec quelques détails, et à la fin de l'étude de chaque groupe une liste rassemble les protozoaires de validité douteuse en raison d'une synonymie possible ou du manque de précision quant à leur description originale. Il donne également un index dans lequel il sera possible de trouver pour chaque oiseau les différents parasites signalés dans la littérature

No abstract

Dans le but de cultiver Trypanosoma congolense, l'auteur propose un milieu de culture diphasique, composé d'une gélose nutritive au sang total de lapin comme base, et d'une solution de chlorure de sodium comme phase liquide. Les parasites sont ensuite récoltés. On prélève d'abord le surnageant, puis la surface de la base est lavée avec une solution de Hank modifiée. Le liquide de lavage est mélangé au surnageant. Après concentration et purification la suspension de Trypanosomes est utilisée comme antigène pour des études immunologiques

cf. fichier PDF de l'article.

L'auteur propose la préparation et l'emploi d'un milieu gélosé contenant 15 p. 100 de sang total de veau zébu. Il s'agit essentiellement d'une phase solide sur laquelle un artifice de manipulation permet d'entretenir Trypanosoma congolense. Ce milieu est préconisé pour l'isolement direct des trypanosomidés parasitant les petits ruminants et les équidés, également les animaux de laboratoire expérimentalement infectés. Trypanosoma congolense est entretenu in vitro sur cette base depuis près de huit mois grâce à vingt-neuf repiquages effectués de janvier à août 1966