Purpose The purpose of this paper is to understand why people shop at small retailers in their community. The authors investigate the influence of consumers’ civic commitment, measured at behavioural and perceptual levels, on small-retailer patronage (SRP). Design/methodology/approach Data from 984 respondents represent four French cities that host common town-centre shopping streets and large out-of-town retail parks. A structural equation model applied to the theoretical framework tests the relationships between civic behavioural commitment (CBC), civic perceptual commitment (CPC) and declared SRP. Findings The more an individual consumer exhibits civic behavioural commitment (CBC) to his/her community, the greater his/her small-retailer patronage (SRP). Furthermore, consumers who express strong civic perceptual commitment (CPC) prefer to patronise small retailers. Results show that CPC has a stronger impact on SRP than CBC does. Practical implications If the CPC has stronger effects on SRP than CBC does, town managers can catch people’s attention by communicating civic commitment to enhance CPC. Solidarity could be developed through large-scale social projects to send a strong signal to consumers regarding retailers’ commitment in the community. Finally, the study highlights the role businesses, retailers and consumers play in building communities. Partnerships across all local stakeholders should be built. Originality/value This paper is the first to define civic behavioural commitment within consumers’ life place based on social capital theory. Moreover, it offers a new framework for understanding perception of commitment within a community, and its impact on SRP. This measurement scale allows more efficient capturing of civic commitment to communities.
Cette recherche fournit une typologie de consommateurs fondée sur le choix des canaux de distribution et sur le nombre de détaillants visités au cours des deux phases du processus de prise de décision d’achat (recherche d’informations et achat). Prenant appui sur le paradigme personne-objet-situation (Belk, 1975a), chaque groupe est analysé en termes de motivations d’achat et de leurs caractéristiques sociodémographiques. Le type de produits achetés par chaque profil est également étudié. Une recherche, administrée en ligne, permet d’étudier le comportement des répondants concernant des produits non alimentaires achetés dans les six mois précédant la collecte des données. Les résultats du modèle d’équations structurelles et de l’analyse multinomiale logit suggèrent que le type de produit détermine le plus fortement ces comportements comparativement aux motivations d’achat et aux variables sociodémographiques. Sur le plan des implications managériales, connaître l’impact de la catégorie de produits sur le profil du consommateur permet aux détaillants de prévoir le canal le plus susceptible d’être visité lors de la recherche d’informations et utilisé pour l’achat. Cette recherche donne également un aperçu des motivations d’achat de chaque profil et aide les détaillants à mieux segmenter leur clientèle.
Que peut faire une enseigne de distribution pour retenir le consommateur qui se trouve en magasin et qui a la possibilité de le quitter pour acheter le produit ailleurs, notamment sur Internet ? Cette recherche vise à identifier les facteurs influençant les arbitrages opérés par les consommateurs en matière de canal d’achat lorsqu’ils se trouvent en magasin. La théorie des niveaux de représentation de Liberman et Trope (1998) permet de montrer que la manière de représenter la situation d’achat influence le choix du canal d’achat. Le paradigme Personne-Objet-Situation (Punj et Stewart, 1983) donne un éclairage sur les facteurs situationnels qui peuvent impacter le choix de canal d’achat. Les résultats de l’étude expérimentale et de la série d’entretiens individuels montrent que l’urgence de l’achat et l’écart de prix entre Internet et magasin viennent modérer la relation entre le niveau de représentation de la situation et l’intention de quitter ou non le magasin. Des pistes de réflexion sont proposées aux enseignes de distribution sur les leviers prix et urgence perçue de l’achat.
Alors que le marché des jeux sociaux et communautaires est en pleine croissance, ces jeux ont fait l’objet de peu de recherches en marketing. L’objectif de cet article consiste à clarifier le concept de jeu social et de jeu communautaire et à expliquer le processus conduisant à l’achat d’objets virtuels, la principale source de revenus de ce type de jeux. À partir de l’analyse d’entretiens individuels et d’un focus group menés auprès de joueurs, il ressort que le jeu social et le jeu communautaire répondent aux leviers de l’engagement comportemental (Kiesler, 1971) et que l’achat d’objets virtuels est la résultante d’un processus d’engagement du joueur. Cet article fournit des pistes de réflexion en direction des développeurs et des managers visant à favoriser l’achat d’objets virtuels.
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