ABSTRACT1. T h e m o v e m e n t of labeled potassium ions has been measured across the innervated m e m b r a n e s of single isolated electroplaques, obtained from the organ of Sachs of Electrophorus electricus, m o u n t e d in an a p p a r a t u s which allowed a separate washing of the two membranes.2. Equations have been derived for a 3 c o m p a r t m e n t system in series in which tracer from a large pool in one outer c o m p a r t m e n t is collected in the other outer c o m p a r t m e n t . T h e a m o u n t of unlabeled ion in the middle c o m p a r tm e n t m a y be calculated and also the fluxes across the two membranes.3. T h e flux of potassium across the innervated m e m b r a n e s of resting cells in a steady state was between 700 to 1000 #/zmoles/cm.2/sec. and was unaffected by d-tubocurarine.4. Direct stimulation of electroplaques with external electrodes caused an increase in the effiux of potassium from the innervated m e m b r a n e of 5 to 8 /~/~moles/cm.~/impulse, which was unaffected by d-tubocurarine; no change occurred in the efflux across the non-innervated m e m b r a n e .5. It is concluded that the discharge of electroplaques is a c c o m p a n i e d by a small outward m o v e m e n t of potassium ions across the innervated m e m b r a n e of the same order of m a g n i t u d e as that found on excitation of squid giant axons. T h e d a t a show a basic similarity of potassium movements across these two entirely different types of conducting membranes and suggest that this p h e n o menon m a y be a general feature of bioelectric currents p r o p a g a t i n g an action potential.
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Les concentrations des ions sodium, potassium, chlore (dans quelques cas), de I’inuline 3H méthoxy et de I’urée 14C, ainsi que la pression osmotique ont été mesurées dans des échantillons de microponctions proximales et distales, dans le plasma et dans I’urine urétérale de Psammomys obesus non diurétiques. Les résultats indiquent chez cette espèce désertique et par rapport au Rat: 1. une filtration glomérulaire par néphron faible (6 nl/min/glomérule); 2. une réabsorption fractionnaire de I’eau à la fin du tubule contourné proximal basse (F/P) in de I’ordre de 2, en rapport avec la faible longueur de ce segment; 3. un comportement du sodium, du potassium et de la pression osmotique le long du néphron comparable à celui observé chez le Rat; 4. un rapport moyen (F/P) in de 3,3 à I’entrée du tubule distal indiquant que la réabsorption nette d’eau dans l’anse de Henle est limitée; 5. un débit d’urée à I’entrée du tubule distal en moyenne 2,3 fois supérieur à son debit de filtration indiquant une importante addition nette d’urée dans I’anse de Henle. Ces deux derniers résultats sont discutés en relation avec le mécanisme médullaire de concentration de I’urine, puisque chez le Psammomys les néphrons accessibles à la surface du cortex possèdent tous des anses longues.
Des expériences de microponctions tubulaires réalisées chez le Rat dans différents états (animaux non diurétiques, en diurèse saline, en diurèse par le mannitol et en diurèse par I’urée) sont rapportées dans ce travail. Pour chaque microponction, ont été déterminés: le débit tubulaire, les concentrations de I’inuline marquée, du sodium et du potassium ainsi que la pression osmotique. Les résultats fournis par 236 échantillons de fluide tubulaire proximal ou distal apparaissent, dans le cas du sodium et de I’inuline, en accord avec ceux précédemment obtenus dans ces types de conditions expérimentales. Pour le potassium, sa concentration reste voisine de celle du plasma le long du tubule contourné proximal dans tous les états étudiés, malgré une réabsorption fractionnaire de I’eau très variable d’un état à I’autre; de plus, il existe une indication de sécrétion tubulaire de potassium dans la portion terminale des néphrons en diurèse par l’urée et par le mannitol. En ce qui concerne la pression osmotique, une hypoosmolarité franche a été trouvée dans tous les échantillons distaux ponctionnés à un débit ne dépassant pas le débit tubulaire; le rapport (F/P)osm moyen le plus bas a été note dans le groupe des Rats non diurétiques. Enfin, le taux de filtration glomérulaire des néphrons ponctionnés a été trouvé sensiblement égal dans tous les groupes (moyennes de 30 à 32 nl/min/glomérule) malgré une clearance rénale de I’inuline variable d’un état à I’autre (et notamment d’un facteur 2 entre le groupe des Rats en diurèse à I’urée et le groupe des Rats en diurèse saline).
Des microinjections d’une solution contenant du 42K et de l’inuline 14C ont été effectuées dans des tubules contournés proximaux et distaux, et dans des capillaires péritubulaires corticaux chez des rats en diurèse saline. Les modalités d’apparition urinaire de ces indicateurs ont été analysées en function du temps. L’inuline 14C est récupérée en totalité dans l’urine du rein expérimental après son injection dans les tubules proximaux et distaux, et est excrétée de façon identique dans l’urine des deux reins après son injection intravasculaire. Le radiopotassium est excrété dans l’urine suivant des modalités identiques selon qu’il est injecté dans des tubules proximaux ou dans des capillaires péritubulaires : il apparaît exclusivement dans l’urine du rein expérimental, avant l’inuline injectée simultanément; sa concentration passe par un maximum très amorti et décroît ensuite selon un mode exponentiel. Après injection dans les tubules distaux, une fraction importante du radiopotassium apparaît en même temps que l’inuline. L’identité des récupérations de radiopotassium observées après son injection dans des tubules proximaux et dans des capillaires corticaux exclut une récupération directe du 42K injecté dans les tubules proximaux, mais suggère son passage par un compartiment cellulaire, précurseur du potassium urinaire. La décroissance exponentielle du 42K dans les échantillons successifs d’urine, permet d’estimer à 30% mn-1 le taux de renouvellement de ce compartiment, dans des conditions où le débit circulatoire rénal de potassium agit probablement comme facteur limitant.
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