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La conversion à basse température de l'hydrogène sur l'or diamagnétique fournit, quoique dans une mesure moindre qu'avec l'aluminium paramagnétique, des indications sur les valences libres superficielles postulées dans des calculs sur les chaleurs de chimisorption. L'effet de la pression à 90° K et à 195° K montre que la conversion est d'ordre 0 à basse pression et du premier ordre à pressions élevées. Ceci indique l'existence d'une surface constituée principalement de centres paramagnétiques faiblement adsorbants, mais contenant quelques centres fortement adsorbants qui se saturent à basses températures et peuvent être des marches ou des sites de dislocation. Dans la série W, Pt, Ni, Fe, Co, Pd, Au, Ag, Cu et Al, les, résultats principaux sont: (a) l'énergie d'activation faible des métaux (d s p) comparée à celle des métaux (s p) (b) le facteur de fréquence élevée pour W (c) l'augmentation d'énergie d'activation dans la série Au < Ag < Cu < Al, qui peut indiquer le rǒle des forces de dispersion dans le mécanisme de Bonhoeffer‐Farkas. Le travail de Gomer relatif à l'émission du champ avec le tungstène est discuté et de nouvelles données au sujet de l'influence de la pression sur la conversion à 160° K sont examinées. II en résulte que le mécanisme de Bonhoeffer‐Farkas n'est pas applicable au tungstène en dessous de 198° K.