Background: Despite changes to the South African abortion legislation in 1996, barriers to women accessing abortions still exist. Second trimester abortions, an inherently more risky procedure, continue to be 20% of all abortions. Understanding the reasons why women delay seeking an abortion until the second trimester is important for informing interventions to reduce the proportion of second trimester abortions in South Africa.

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A retrospective evaluation of attitudinal, behavioural and knowledge change among diverse stakeholder groups was conducted in Limpopo Province of South Africa to assess the effectiveness of a series of values clarification (VC) interventions. Telephone and face-to-face interview (193) results revealed that over two-thirds (70.2%) reported behavioural changes and 93.2% reported increased compassion for women who seek and providers who render termination of pregnancy. Behaviours supportive of the law were more likely among those initially undecided about their opinion of termination of pregnancy (p < 0.05) than among those initially opposed or supportive to it. When combined with supportive follow-up, three-day VC workshops may be effective at increasing CTOPA knowledge, changing attitudes and spurring advocacy behaviour to support reproductive choice. Research studies with pre-post and case-control designs are needed to confirm these preliminary results. RÉSUMÉLe développement des alliances à partir des ambivalences; Evaluation des ateliers de clarification de valeurs de l'avortement avec les intéressés en Afrique du Sud Une évaluation retrospectine des modifications sur le plan de l'attitude, du comportement et de la connaissance parmi les divers groupes d'intéressés a été menée dans la Province Limpopo d'Afrique du Sud afin d'évaluer l'efficacité d'une série d'interventions de la clarification des valeurs (CV). Les résultats des interviews par téléphone et face à face (193) ont montré que les deux tiers (70,2%) ont signalé des modifications au niveau du comportement et que 93,2% ont signalé une hausse dans la compassion pour les femmes qui recherchent l'interruption de grossesse et les fournisseurs qui l'assurent. Les comportements qui soutenaient la loi étaient plus possibles chez celles qui, au départ, n'étaient pas sûres de leurs opinions à l'égard de l'interruption de grossesse (p<0,05) que chez celles qui dès le départ y étaient opposées ou qui la soutenaient. Si l'on combine les ateliers de trois jours de CV avec des suivis de soutien, les ateliers peuvent être efficaces pour augmenter la connaissance de CTOPA, la modification d'attitudes et peuvent motiver le plaidoyer de comportement en faveur du choix de reproduction. Il faut des recherches de modèle pre-poste et de cas témoin pour confirmer ces résultats préliminaries. (Rev Afr Santé Reprod 2005; 9[3]:89-99)

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