No abstract

No abstract

No abstract

RÉSUMÉL'expérience, dont les résultats sont décrits ici, fait partie du programme général d'étude de la variabilité infraspécifique du Douglas. La situation de cet essai comparatif de provenances dans les Maures, en zone méditerranéenne subhumide, ainsi que l'étude de sources de graines californiennes, en font son originalité.Bien que les observations ne concernent qu'un stade juvénile, il est possible de mettre en évi-dence de nombreuses différences entre provenances pour des caractères phénologiques, de vigueur, morphologiques et surtout de résistance à la sécheresse, une sécheresse très sévère étant intervenue en deuxième année de plantation. Les provenances de Californie intérieure se montrent les mieux adaptées. INTRODUCTIONLe comportement d'organismes vivants est toujours le résultat de l'expression de leur génotype placé dans un milieu donné. C'est pourquoi l'étude de la variabilité infraspécifique d'une espèce suppose la recherche des interactions éventuelles entre génotype et milieu et s'appuie donc obligatoirement sur une expérimentation multistationnelle. Sur le plan scientifique, ceci peut même conduire à introduire une espèce représentée par plusieurs populations là où, a priori, le reboiseur ne l'aurait pas utilisée.L'expérimentation décrite dans cette note a pour but d'étudier certains aspects de la variabilité du Douglas vert, Pseudotsaga menziesii Mirb var. menziesii, dans le Massif des Maures en zone méditerranéenne subhumide, région qui, a priori, peut sembler marginale pour le Douglas. Outre l'introduction du Douglas dans cette zone écologique, l'étude de provenances méridionales (Californie) présente un caractère original. C'est pourquoi il est intéressant d'endégager les premiers résultats même s'ils ne concernent qu'un stade juvénile.Article disponible sur le site http://www.afs-journal.org ou http://dx

Le Conseil de l'Europe ne cesse depuis 1964 (date du 1 er Congrès européen) de préconiser que les mesures de lutte soient prises sur le plan international, mais les hygiénistes et autres experts ne sont toujours pas d'accord sur les normes à retenir soit à l'émission, soit dans l'environnement : faut-il fixer des moyennes horaires ou journalières en limitant les pointes d'émission en durée et en valeur ? Le problème est loin d'être simple.