Résumé
But
Étudier le profil épidémiologique de la dysfonction érectile (DE) chez les hémodialysés du CNHU.
Matériels et méthodes
Il s’agissait d’une étude transversale descriptive réalisée par l’équipe du service d’urologie dans le service d’hémodialyse du CNHU de Cotonou portant sur 58 patients hémodialysés. La forme abrégée de l’Index international de la fonction érectile (IIEF-5) a été utilisée pour l’appréciation de la fonction érectile. Un questionnaire préétabli a permis de recueillir les données sur le profil épidémiologique des patients.
Résultats
Les patients étaient âgés de 27 à 78 ans avec une moyenne d’âge de 56,3 ans. 96,6 % de nos patients étaient mariés dont 10,3 % de polygames. Les principales étiologies de l’insuffisance rénale chronique (IRC) étaient l’hypertension artérielle (HTA) mal suivie (87,9 %) et le diabète (12,1 %). La prévalence de la DE était de 75,9 % dont 29,3 % de DE sévères. Certains facteurs étiologiques ont été retrouvés en ce qui concerne la DE: il s’agissait de l’alcool (36,2 %) et du tabac (12,1 %). La DE était présente chez 9,1 % des patients avant la découverte de l’insuffisance rénale, et 72,7 % des patients avaient affirmé avoir constaté l’insuffisance érectile avec le début des séances de dialyse. Pour 39 patients (88,6 %), la DE se serait accentuée au cours des séances de dialyses. Les troubles sexuels associés étaient une baisse de la libido chez 25 % des patients (11/44) et une éjaculation précoce chez 34,1 % (15/44). Une hypotension artérielle a été notée chez 25 % des patients (11/44). Une hyperglycémie a été retrouvée chez 22,7 % des patients (10/44).
Conclusion
La DE, complication fréquente survenant sur les terrains d’IRC, a un impact négatif sur la qualité de la sexualité de nos patients hémodialysés. Une prise en charge de ce trouble devrait permettre d’améliorer la qualité de vie de ces derniers.
A total of 214 patients with complete data were evaluated. Urological pathologies represented 4.8% of the hospitalizations in paediatric surgery, with an incidence of 21 cases per year. The mean age was 4.9 ± 3.2 years (age 1 week to 14 years). The male to female ratio was 14:14. Cryptorchidism, hydrocele, nephroblastoma, the posterior urethral valves, ureteropelvic junction obstructions, post-circumcision haemorrhage and hypospadias were the most frequent pathologies. Congenital urological malformations represented 81.3%, followed neoplastic pathologies (7.9%), traumatic pathologies (6.1%) and others (4.7%). The disorders of male genitalia were more frequent and constituted 68.2% of the cases. The anomalies of the urinary tract were 30.8% and intersex disorders were 0.9%. The average age of the children urological pathologies at the time of consultation was 8.85 ± 4.6 years. The treatment was often surgical with a mortality of 2.8%.
, Tel : 00 229 95454118 RESUME Une étude rétrospective et prospective sur un échantillon de 77 patients ayant une tumeur prostatique, a permis de déterminer la valeur prédictive du PSA (prostate specific antigen) dans le diagnostic du cancer de la prostate. La prévalence du cancer de la prostate au sein des patients ayant une tumeur prostatique est de 31%. 1OO% des sujets porteurs d'un cancer de la prostate ont un rapport PSAlibre /PSA total <25% ; 79% des patients porteurs d'un cancer ont une densité du PSA (PSAD) >0,25 ng/ml/cm 3 . La comparaison du PSA total et du toucher rectal (TR) dans le diagnostic du cancer de la prostate a été faite : une sensibilité (50% et 87%), une spécificité (81% et 72%), une valeur prédictive positive (54% et 58%), une valeur prédictive négative (72% et 93%) ont été obtenues respectivement pour le TR et le taux de PSA total. Cette étude montre que la détermination du PSA total et libre associée au TR améliore le diagnostic du cancer de la prostate.
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